Différences entre versions de « DAREAU, Victorien (Orgerussien) »

De Le Wiki de la Grande Guerre
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Ses grands-parents venaient de Dreux : Jacques Hubert Lucien Dareau et Anastasie  Angélique Clairet. Ils ont eu 7 enfants : Léon (1859), Louis Zacharie (1861), Joseph (1862), Victor (1866),  Anastasie (1868), Albertine (1870), Florentine (1872).
 
Ses grands-parents venaient de Dreux : Jacques Hubert Lucien Dareau et Anastasie  Angélique Clairet. Ils ont eu 7 enfants : Léon (1859), Louis Zacharie (1861), Joseph (1862), Victor (1866),  Anastasie (1868), Albertine (1870), Florentine (1872).
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Victorien avait deux frères : Lucien (1880) et Emilien (1885), tous deux également appelés.
 
Victorien avait deux frères : Lucien (1880) et Emilien (1885), tous deux également appelés.
 
Lucien est arrivé le 12 août 1914 au 102ème Régiment d’infanterie. Parti aux armées le 25 août 1914, il sera affecté le 10 juin 1916 au 20ème escadron du train. Après la guerre, il se retire dans la commune de Bourdonné. Emilien est affecté au 101ème régiment d’infanterie le 5 août 1914, puis passe le 12 juin 1915 au 317ème Régiment d’infanterie. Il est fait prisonnier le 11 juillet 1918 à Vaudières dans la Marne, puis interné à Giessen (Allemagne). Il sera rapatrié et rentrera en France le 16 novembre 1918. Le 22 janvier 1916, il reçoit la croix de guerre étoile de Bronze et est cité « A par son sang-froid permis à son chef de sauver une mitrailleuse enrayée sur laquelle se précipitaient les grenadiers ennemis »
 
Lucien est arrivé le 12 août 1914 au 102ème Régiment d’infanterie. Parti aux armées le 25 août 1914, il sera affecté le 10 juin 1916 au 20ème escadron du train. Après la guerre, il se retire dans la commune de Bourdonné. Emilien est affecté au 101ème régiment d’infanterie le 5 août 1914, puis passe le 12 juin 1915 au 317ème Régiment d’infanterie. Il est fait prisonnier le 11 juillet 1918 à Vaudières dans la Marne, puis interné à Giessen (Allemagne). Il sera rapatrié et rentrera en France le 16 novembre 1918. Le 22 janvier 1916, il reçoit la croix de guerre étoile de Bronze et est cité « A par son sang-froid permis à son chef de sauver une mitrailleuse enrayée sur laquelle se précipitaient les grenadiers ennemis »

Version du 13 novembre 2015 à 15:46

Victorien Dareau

Mention du jugement déclaratif du décès de Victorien Georges DAREAU : Par jugement du 7 septembre 1920, transcrit le 21 septembre 1920, sous le numéro 30, le tribunal civil de Rambouillet a déclaré constant le décès de Victorien Georges Dareau mort pour la France le 27 septembre 1915 à L’Epine de Vedegrange Marne.


Rappelé le 2 août 1914 au 12ème régiment d’artillerie de Campagne, il est renvoyé dans ses foyers le 17 août 1914. Affecté au 115ème régiment d’infanterie, il arrive au corps le 29 novembre 1914. Il passe au 103ème régiment d’infanterie le 1er mars 1915 puis au 130ème Régiment d’infanterie le 17 mars 1915. Il disparaît le 27 septembre 1915 devant Saint Soupplet à l’Epine de Vedegrange (commune de St Hilaire le Grand dans la Marne) presque le jour de ses 26 ans. Victorien Georges Dareau est né à Orgerus le 26 septembre 1889 au Moutier. Il est le fils de Léon François Lucien Dareau et de Louise Marcelline Lepage. Victorien s’est marié le 18 avril 1914 à Orgerus avec Germaine Fleuret.


Ses grands-parents venaient de Dreux : Jacques Hubert Lucien Dareau et Anastasie Angélique Clairet. Ils ont eu 7 enfants : Léon (1859), Louis Zacharie (1861), Joseph (1862), Victor (1866), Anastasie (1868), Albertine (1870), Florentine (1872).


Victorien avait deux frères : Lucien (1880) et Emilien (1885), tous deux également appelés. Lucien est arrivé le 12 août 1914 au 102ème Régiment d’infanterie. Parti aux armées le 25 août 1914, il sera affecté le 10 juin 1916 au 20ème escadron du train. Après la guerre, il se retire dans la commune de Bourdonné. Emilien est affecté au 101ème régiment d’infanterie le 5 août 1914, puis passe le 12 juin 1915 au 317ème Régiment d’infanterie. Il est fait prisonnier le 11 juillet 1918 à Vaudières dans la Marne, puis interné à Giessen (Allemagne). Il sera rapatrié et rentrera en France le 16 novembre 1918. Le 22 janvier 1916, il reçoit la croix de guerre étoile de Bronze et est cité « A par son sang-froid permis à son chef de sauver une mitrailleuse enrayée sur laquelle se précipitaient les grenadiers ennemis »