https://wiki1418.yvelines.fr/api.php?action=feedcontributions&user=TestAD&feedformat=atomLe Wiki de la Grande Guerre - Contributions de l’utilisateur [fr]2024-03-29T14:20:15ZContributions de l’utilisateurMediaWiki 1.35.5https://wiki1418.yvelines.fr/index.php?title=Biographie_Gilles_Robert_Edouard_D%C3%A9sir%C3%A9&diff=7145Biographie Gilles Robert Edouard Désiré2019-02-15T10:42:56Z<p>TestAD : </p>
<hr />
<div>'''Biographie de Gilles Robert Edouard Désiré.'''<br />
<br />
Robert Gilles est né le 12 décembre 1897 à Paris dans le 11ème arrondissement, département de la Seine.<br />
<br />
Il était le fils de Silvain Désiré Gilles et de Alexandrine Aurélie Marquot.<br />
<br />
Il résidait à Corbeil dans le département Seine et Oise et exercait la profession d'ajusteur mécanicien.<br />
<br />
Il avait les cheveux châtains et les yeux bleu clair, un petit front, un long nez, un visage ovale,une bouche avec de minces lèvres, un menton fuyant et mesurait 1m60.<br />
<br />
Son degré d'instruction était de 3.<br />
<br />
Il portait le matricule 2907. Engagé volontaire pour la durée de la guerre le 20 janvier 1916, il est arrivé au corps le 23 janvier 1916.<br />
<br />
Il appartenait au 2e groupe d'aviation sous le matricule 6827.<br />
<br />
Il a été mis en congé illimité de démobilisation le 29 aout 1919.<br />
<br />
.<br />
<br />
[[Catégorie:Personnages]]</div>TestADhttps://wiki1418.yvelines.fr/index.php?title=Martin_Adolphe,_Fernand&diff=7144Martin Adolphe, Fernand2019-02-15T10:42:26Z<p>TestAD : </p>
<hr />
<div> Martin Adolphe, Fernand, né le 20 juin 1889 à Paris (19èmeA.)a exercé à l'atelier de mécanique générale et a résidé à Limours (Seine et Oise).<br />
Il a été incorporé le 6 octobre 1910 au 26ème régiment d'artillerie sous le matricule 2353. Appelé à la mobilisation générale du 1er aout 1914, il est arrivé le 3 aout 1914 au 44ème régiment d'artillerie de campagne. Il reste mobilisé pour la 1ère guerre mondiale dans l'armée jusqu'en septembre 1919.<br />
Décédé le 29 mars 1954 à Limours.</div>TestADhttps://wiki1418.yvelines.fr/index.php?title=Ernest_CHARLOT&diff=7143Ernest CHARLOT2019-02-15T10:41:56Z<p>TestAD : </p>
<hr />
<div>À 29 ans, Ernest est mobilisé le 01 août 1914. Né le 03 mars 1885 à Savonnière-devant-Bar, Ernest réside à Marly-le-Roi chez son père, régisseur de château, et exerce le métier de jardinier. Il est incorporé au 82 régiment d'artillerie lourde le 3 août 1914. Le 1er novembre 1915, il est versé au 105e régiment d'artillerie lourde. Il fait la bataille de Verdun où il est blessé. Il décroche la croix de guerre et le grade de maréchal des logis. Il est démobilisé le 26 mars 1919. S'il n'est pas mutilé de guerre, il est tout de même atteint de surdité.<br />
[[Catégorie:Personnages]]<br />
[[Catégorie:Parcours de mobilisés]]</div>TestADhttps://wiki1418.yvelines.fr/index.php?title=Charles_Louis_CHARLOT&diff=7142Charles Louis CHARLOT2019-02-15T10:41:55Z<p>TestAD : </p>
<hr />
<div>Charles-Louis '''CHARLOT''' est un soldat de la première guerre mondiale.<br />
<br />
Né le 26 février 1874 à Paris, il est le fils de Charles CHARLOT et de Marie CHAUMES. Il est appelé à servir sous les drapeaux en 1894 alors qu'il est étudiant en commerce à Paris et sert dans l'armée de réserve. Il renonce au bénéfice de la dispense le 10 juin 1896 pour l'accomplissement de 3 années de services. Promu caporal le 2 octobre 1896, il est envoyé dans la disponibilité en septembre 1898. Tout d'abord affecté au 5éme régiment d'infanterie du 4 au 31 mars 1901, Réformé le 8 avril 1905 pour obésité, il est rappelé suite à la mobilisation générale le 1er août 1914. Au début de la guerre et jusqu'au 6 mai 1915, il est affecté au 13éme régiment d'artillerie. Il est ensuite affecté au 19éme escadron du train durant la campagne contre l'Allemagne de 1915 à 1919<ref>Fiche matricule, Archives départementales des Yvelines, http://archives.yvelines.fr</ref>. Démobilisé le 14 janvier de cette même année, il est libéré du service militaire le 22 octobre 1922.<br />
<references /></div>TestADhttps://wiki1418.yvelines.fr/index.php?title=Martin_Adolphe,_Fernand&diff=7141Martin Adolphe, Fernand2019-02-15T10:41:38Z<p>TestAD : </p>
<hr />
<div> Martin Adolphe, Fernand, née le 20 juin 1889 à Paris (19èmeA.)a exercé à l'atelier de mécanique générale et a résidé à Limours (Seine et Oise).<br />
Il a été incorporé le 6 octobre 1910 au 26ème régiment d'artillerie sous le matricule 2353. Appelé à la mobilisation générale du 1er aout 1914, il est arrivé le 3 aout 1914 au 44ème régiment d'artillerie de campagne. Il reste mobilisé pour la 1ère guerre mondiale dans l'armée jusqu'en septembre 1919.<br />
Décédé le 29 mars 1954 à Limours.</div>TestADhttps://wiki1418.yvelines.fr/index.php?title=Le_Preux&diff=7140Le Preux2019-02-15T10:41:14Z<p>TestAD : </p>
<hr />
<div>Le Preux Louis Jules, né le 13 juin 1896 à Paris, passe à la postérité pour avoir été incorporé au 4e régiment de Zouaves, puis au 1er, il reviendra au 3e régiment pour partir au 4e. C'est sa première mobilisation débutée le 3 septembre 1917 pour combattre contre l'ennemi allemand. Il est capturé le 30 mai 1918 dans l'Aisne en Picardie, il est prisonnier de guerre jusqu'à son rapatriement le 1 décembre 1918. Il reste mobilisé jusqu'en septembre 1919 comme beaucoup d'autres soldats.<br />
<br />
Louis Jules exerça la profession de sertisseur, c'est à dire qu'il enchâsseait et sertissait les pierres précieuses pour les présenter.Il perçait et ajustait des pierres précieuses pour créer de jolis bijoux.</div>TestADhttps://wiki1418.yvelines.fr/index.php?title=Chancel_dussere&diff=7139Chancel dussere2019-02-15T10:40:17Z<p>TestAD : /* CHANCEL DUSSERE Mars, René, Louis, Auguste, Jean */</p>
<hr />
<div>== '''CHANCEL DUSSERE''' Mars, René, Louis, Auguste, Jean ==<br />
<br />
Mars CHANCEL DUSSERE est un poilu né à Genève (Suisse) le 14 décembre 1883 de Léon Chancel et d'Antoinette Daudin.<br />
Il a grandi avec sa famille à Villeneuve-Saint-Georges (94), puis a exercé le métier de mécanicien. Il mesurait 1,73m et était châtain aux yeux gris.<br />
<br />
En 1904 alors qu'il est âgé de 19 ans, il se rend à la mairie de Versailles pour s'engager volontairement. Il intègre alors le 1er régiment du génie le 03 mars de la même année et obtient un certificat de bonne conduite. Envoyé en disponibilité le 15 mars 1905, Mars CHANCEL DUSSERE part s'installer à Paris.<br />
<br />
Blessé en 1906.<br />
<br />
Lors de la campagne contre l'Allemagne du 02 août 1914 au 20 mars 1919, il est considéré comme appelé mais reste à son emploi au Chemin de fer de Campagne. <br />
<br />
Il est finalement libéré de toute obligation militaire le 15 octobre 1932.<br />
[[Catégorie:Personnages]]<br />
[[Catégorie:Parcours de mobilisés]]</div>TestADhttps://wiki1418.yvelines.fr/index.php?title=Lepage&diff=7138Lepage2019-02-15T10:39:08Z<p>TestAD : TestAD a déplacé la page Lepage vers Le Preux : erreur</p>
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<div>#REDIRECTION [[Le Preux]]</div>TestADhttps://wiki1418.yvelines.fr/index.php?title=Le_Preux&diff=7137Le Preux2019-02-15T10:39:08Z<p>TestAD : TestAD a déplacé la page Lepage vers Le Preux : erreur</p>
<hr />
<div>Le Preux Louis Jules, né le 13 juin 1896 à Paris, passe à la postérité pour avoir été incorporé au 4e régiment de Zouaves, puis au 1er, il reviendra au 3e régiment pour partir au 4e. C'est sa première mobilisation débutée le 3 septembre 1917 pour combattre contre l'ennemi allemand. Il est capturé le 30 mai 1918 dans l'Aisne en Picardie, il est prisonnier de guerre jusqu'à son rapatriement le 1 décembre 1918. Il reste mobilisé jusqu'en septembre 1919 comme beaucoup d'autres soldats.<br />
<br />
Louis Jules exerça la profession de sertisseur, c'est à dire qu'il enchâsse et sertit les pierres précieuses pour les présenter sous leur meilleur jour. Armé d'une loupe, il perce et ajuste pour créer de jolis bijoux.</div>TestADhttps://wiki1418.yvelines.fr/index.php?title=Charles_Louis_CHARLOT&diff=7136Charles Louis CHARLOT2019-02-15T10:38:26Z<p>TestAD : </p>
<hr />
<div>Charles-Louis '''CHARLOT''' est un soldat de la première guerre mondiale.<br />
<br />
Né le 26 février 1874 à Paris, il est le fils de Charles CHARLOT et de Marie CHAUMES. Il est appelé à servir sous les drapeaux en 1894 alors qu'il est étudiant en commerce à Paris et sert dans l'armée de réserve. Il renonce au bénéfice de la dispense le 10 juin 1896 pour l'accomplissement de 3 années de services. Promu caporal le 2 octobre 1896, il est envoyé dans la disponibilité en septembre 1898. Tout d'abord affecté au 5éme régiment d'infanterie du 4 au 31 mars 1901, Réformé le 8 avril 1905 pour obésité, il est rappelé suite à la mobilisation générale le 1er août 1914 où il est affecté jusqu'au 6 mai 1915. Il est ensuite affecté au 19éme escadron du train durant la campagne contre l'Allemagne de 1915 à 1919<ref>Fiche matricule, Archives départementales des Yvelines, http://archives.yvelines.fr</ref>. Démobilisé le 14 janvier de cette même année, il est libéré du service militaire le 22 octobre 1922.</div>TestADhttps://wiki1418.yvelines.fr/index.php?title=MOISAN_JEAN-MARIE&diff=7135MOISAN JEAN-MARIE2019-02-15T10:36:43Z<p>TestAD : un soldat de la guerre de 1914-1918</p>
<hr />
<div>Jean-Marie Moisan est né le 19 juillet 1891 à Saint-Fiacre canton de Plouagat. Incorporé le 10/10/1912. Soutien indispensable de famille le 24/12/12. Service auxiliaire à partie du 19/12/1914. Il est resté seulement quelques semaines en service actif. Maintenu en service auxiliaire à cause de ses problèmes de santé. Certificat de bonne conduite accordé. Il exerçait la profession de cantonnier.<br />
[[Catégorie:Personnages]]<br />
[[Catégorie:Parcours de mobilisés]]</div>TestADhttps://wiki1418.yvelines.fr/index.php?title=Chancel_dussere&diff=7134Chancel dussere2019-02-15T10:36:31Z<p>TestAD : </p>
<hr />
<div>== '''CHANCEL DUSSERE''' Mars, René, Louis, Auguste, Jean ==<br />
<br />
Mars CHANCEL DUSSERE est un poilu né à Genève (Suisse) le 14 décembre 1883 de Léon Chancel et d'Antoinette Daudin.<br />
Il a grandi avec sa famille à Villeneuve-Saint-Georges (94), puis a exercé le métier de mécanicien. Il mesurait 1,73m et était châtain aux yeux gris.<br />
<br />
En 1904 alors qu'il est âgé de 19 ans, il se rend à la mairie de Versailles pour s'engager volontairement. Il intègre alors le 1er régiment du génie le 03 mars de la même année et obtient un certificat de bonne conduite. Envoyé en disponibilité le 15 mars 1905, Mars CHANCEL DUSSERE part s'installer à Paris.<br />
<br />
Il se blesse en 1906.<br />
<br />
Lors de la campagne contre l'Allemagne du 02 août 1914 au 20 mars 1919, il est considéré comme appelé mais reste à son emploi au Chemin de fer de Campagne. <br />
<br />
Il est finalement libéré de toute obligation militaire le 15 octobre 1932.<br />
[[Catégorie:Personnages]]<br />
[[Catégorie:Parcours de mobilisés]]</div>TestADhttps://wiki1418.yvelines.fr/index.php?title=Legoff_emile&diff=7133Legoff emile2019-02-15T10:35:58Z<p>TestAD : </p>
<hr />
<div>Legoff Emile Léon né le 26/02/1871 à Menouville (95) charretier dans le civil fut incorporé du 15 mai 1916 au 7 décembre 1918 comme soldat 2éme classe sous le matricule 242 dans le 22éme régiment d'artillerie de campagne lors de la première Guerre mondiale. Il mena campagne contre l'Allemagne du 19 mai 1916 au 8 novembre 1917 puis fut mobilisé agricole jusqu'à sa démobilisation le 7 décembre 1918.<br />
[[Catégorie:Personnages]]<br />
[[Catégorie:Parcours de mobilisés]]</div>TestADhttps://wiki1418.yvelines.fr/index.php?title=Lucien_Fernand_Deniau&diff=7132Lucien Fernand Deniau2019-02-15T10:35:55Z<p>TestAD : </p>
<hr />
<div>Né le 30/08/1885 à Maisons-Laffitte, Lucien choisit une carrière de régleur-fraiseur puis s'engagea en 1906. Il est affecté au 5ème régiment d'infanterie sous le matricule 8760. Classé dans les services auxiliaires pour incapacité de marche à cause d'une fracture à la jambe droite, ce soldat obtint son certificat de bonne conduite fin 1908. Rappelé à l'activité par décret de mobilisation générale, il arriva en décembre 1914 au 3ème régiment du génie et participa à la campagne contre l'Allemagne jusqu'au 26 janvier 1915. En 1916, il passa au premier régiment du génie. Nommé caporal en février 1917, il fut mis en congé illimité de démobilisation en mars 1919.<br />
[[Catégorie:Personnages]]<br />
[[Catégorie:Parcours de mobilisés]]</div>TestADhttps://wiki1418.yvelines.fr/index.php?title=Martin_Adolphe,_Fernand&diff=7131Martin Adolphe, Fernand2019-02-15T10:35:44Z<p>TestAD : Page créée avec « Martin Adolphe, Fernand, né le 20 juin 1889 à Paris (19èmeA.)a exercé à l'atelier de mécanique générale et a résidé à Limours (Seine et Oise). Il a été incor... »</p>
<hr />
<div> Martin Adolphe, Fernand, né le 20 juin 1889 à Paris (19èmeA.)a exercé à l'atelier de mécanique générale et a résidé à Limours (Seine et Oise).<br />
Il a été incorporé le 6 octobre 1910 au 26ème régiment d'artillerie sous le matricule 2353. Appelé à la mobilisation générale du 1er aout 1914, il est arrivé le 3 aout 1914 au 44ème régiment d'artillerie de campagne. Il reste mobilisé pour la 1ère guerre mondiale dans l'armée jusqu'en septembre 1919.<br />
Décédé le 29 mars 1954 à Limours.</div>TestADhttps://wiki1418.yvelines.fr/index.php?title=Le_Preux&diff=7130Le Preux2019-02-15T10:35:30Z<p>TestAD : </p>
<hr />
<div>Le Preux Louis Jules, né le 13 juin 1896 à Paris, passe à la postérité pour avoir été incorporé au 4e régiment de Zouaves, puis au 1er, il reviendra au 3e régiment pour partir au 4e. C'est sa première mobilisation débutée le 3 septembre 1917 pour combattre contre l'ennemi allemand. Il est capturé le 30 mai 1918 dans l'Aisne en Picardie, il est prisonnier de guerre jusqu'à son rapatriement le 1 décembre 1918. Il reste mobilisé jusqu'en septembre 1919 comme beaucoup d'autres soldats.<br />
<br />
Louis Jules exerça la profession de sertisseur, c'est à dire qu'il enchâsse et sertit les pierres précieuses pour les présenter sous leur meilleur jour. Armé d'une loupe, il perce et ajuste pour créer de jolis bijoux.</div>TestADhttps://wiki1418.yvelines.fr/index.php?title=Duval_Joseph&diff=7129Duval Joseph2019-02-15T10:35:20Z<p>TestAD : </p>
<hr />
<div>'''Etat-civil'''<br />
<br />
[http://archives.yvelines.fr/arkotheque/visionneuse/visionneuse.php?arko=YTo3OntzOjQ6ImRhdGUiO3M6MTA6IjIwMTktMDItMTUiO3M6MTA6InR5cGVfZm9uZHMiO3M6MTE6ImFya29fc2VyaWVsIjtzOjQ6InJlZjEiO3M6MjoiMTAiO3M6NDoicmVmMiI7czozOiIyNzYiO3M6MjI6ImZvcmNlX251bV9pbWFnZV9kZXBhcnQiO2k6NDI0O3M6MTY6InZpc2lvbm5ldXNlX2h0bWwiO2I6MTtzOjIxOiJ2aXNpb25uZXVzZV9odG1sX21vZGUiO3M6NDoicHJvZCI7fQ==#uielem_move=0%2C0&uielem_rotate=F&uielem_islocked=0&uielem_zoom=37 Joseph DUVAL], né le 5 octobre 1874 à Marolles en Hurepoix, était maçon à St Vrain (département de Seine et Oise) avec un degré d'instruction de niveau 2.<br />
<br />
'''Description'''<br />
<br />
Il a les cheveux bruns et les yeux bleus. Il mesurait 1m62.<br />
<br />
'''Parcours militaire'''<br />
<br />
Il fut incorporé le 16 novembre 1895 puis mobilisé le 3 août 1914 pour la Grande Guerre, dans le 33ème régiment d'infanterie. Détaché le 25 octobre 1914, il intégra le 5ème régiment du Génie, au profit de la Poudrerie militaire du Bouchet jusqu'au 22 mai 1919. Libéré du service militaire le 22 octobre 1922, il retourna à la vie civile.<br />
[[Catégorie:Personnages]]</div>TestADhttps://wiki1418.yvelines.fr/index.php?title=Duval_Joseph&diff=7128Duval Joseph2019-02-15T10:33:22Z<p>TestAD : </p>
<hr />
<div>'''Etat-civil'''<br />
<br />
[http://archives.yvelines.fr/arkotheque/visionneuse/visionneuse.php?arko=YTo3OntzOjQ6ImRhdGUiO3M6MTA6IjIwMTktMDItMTUiO3M6MTA6InR5cGVfZm9uZHMiO3M6MTE6ImFya29fc2VyaWVsIjtzOjQ6InJlZjEiO3M6MjoiMTAiO3M6NDoicmVmMiI7czozOiIyNzYiO3M6MjI6ImZvcmNlX251bV9pbWFnZV9kZXBhcnQiO2k6NDI0O3M6MTY6InZpc2lvbm5ldXNlX2h0bWwiO2I6MTtzOjIxOiJ2aXNpb25uZXVzZV9odG1sX21vZGUiO3M6NDoicHJvZCI7fQ==#uielem_move=0%2C0&uielem_rotate=F&uielem_islocked=0&uielem_zoom=37 Joseph DUVAL], né le 5 octobre 1874 à Marolles en Hurepoix, était maçon à St Vrain (département de Seine et Oise) avec un degré d'instruction de niveau 2.<br />
<br />
'''Description'''<br />
<br />
Il a les cheveux bruns et les yeux bleus. Il mesurait 1m62.<br />
<br />
'''Parcours militaire'''<br />
<br />
Il fut incorporé le 16 novembre 1895 puis mobilisé le 3 août 1914 pour la Grande Guerre, dans le 33ème régiment d'infanterie. Détaché le 25 octobre 1914, il intégra le 5ème régiment du Génie, au profit de la Poudrerie militaire du Bouchet jusqu'au 22 mai 1919. Libéré du service militaire le 22 octobre 1922, il retourna à la vie civile.</div>TestADhttps://wiki1418.yvelines.fr/index.php?title=Legoff_emile&diff=7127Legoff emile2019-02-15T10:33:18Z<p>TestAD : </p>
<hr />
<div>Legoff Emile Léon né le 26/02/1871 à Menouville (95) charretier dans le civil fut incorporé du 15 mai 1916 au 7 décembre 1918 comme soldat 2éme classe sous le matricule 242 dans le 22éme régiment d'artillerie de campagne lors de la première Guerre mondiale. Il mena campagne contre l'Allemagne du 19 mai 1916 au 8 novembre 1917 puis fut mobilisé agricole jusqu'à sa démobilisation le 7 décembre 1918.</div>TestADhttps://wiki1418.yvelines.fr/index.php?title=Duval_Joseph&diff=7126Duval Joseph2019-02-15T10:30:56Z<p>TestAD : </p>
<hr />
<div>'''Etat-civil'''<br />
<br />
[http://archives.yvelines.fr/arkotheque/visionneuse/visionneuse.php?arko=YTo3OntzOjQ6ImRhdGUiO3M6MTA6IjIwMTktMDItMTUiO3M6MTA6InR5cGVfZm9uZHMiO3M6MTE6ImFya29fc2VyaWVsIjtzOjQ6InJlZjEiO3M6MjoiMTAiO3M6NDoicmVmMiI7czozOiIyNzYiO3M6MjI6ImZvcmNlX251bV9pbWFnZV9kZXBhcnQiO2k6NDIzO3M6MTY6InZpc2lvbm5ldXNlX2h0bWwiO2I6MTtzOjIxOiJ2aXNpb25uZXVzZV9odG1sX21vZGUiO3M6NDoicHJvZCI7fQ==#uielem_move=-251%2C-1812&uielem_rotate=F&uielem_islocked=0&uielem_zoom=117 Joseph DUVAL], né le 5 octobre 1874 à Marolles en Hurepoix, était maçon à St Vrain (département de Seine et Oise) avec un degré d'instruction de niveau 2.<br />
<br />
'''Description'''<br />
<br />
Il a les cheveux bruns et les yeux bleus. Il mesurait 1m62.<br />
<br />
'''Parcours militaire'''<br />
<br />
Il fut incorporé le 16 novembre 1895 puis mobilisé le 3 août 1914 pour la Grande Guerre, dans le 33ème régiment d'infanterie. Détaché le 25 octobre 1914, il intégra le 5ème régiment du Génie, au profit de la Poudrerie militaire du Bouchet jusqu'au 22 mai 1919. Libéré du service militaire le 22 octobre 1922, il retourna à la vie civile.</div>TestADhttps://wiki1418.yvelines.fr/index.php?title=Charles_Louis_CHARLOT&diff=7125Charles Louis CHARLOT2019-02-15T10:16:26Z<p>TestAD : Page créée avec « Charles-Louis '''CHARLOT''' est un soldat de la première guerre mondiale. Né le 26 février 1874 à Paris, il est le fils de Charles CHARLOT et de Marie CHAUMES. Il es... »</p>
<hr />
<div>Charles-Louis '''CHARLOT''' est un soldat de la première guerre mondiale.<br />
<br />
Né le 26 février 1874 à Paris, il est le fils de Charles CHARLOT et de Marie CHAUMES. Il est appelé à servir sous les drapeaux en 1894 alors qu'il est étudiant en commerce à Paris. Il renonce au bénéfice de la dispense</div>TestADhttps://wiki1418.yvelines.fr/index.php?title=Le_Preux&diff=7124Le Preux2019-02-15T10:15:44Z<p>TestAD : Page créée avec « Le »</p>
<hr />
<div>Le</div>TestADhttps://wiki1418.yvelines.fr/index.php?title=Chancel_dussere&diff=7123Chancel dussere2019-02-15T10:15:12Z<p>TestAD : A</p>
<hr />
<div>CHANCEL DUSSERE Mars, René, Louis, Auguste, Jean<br />
<br />
Mars CHANCEL DUSSERE est un poilu né à Genève (Suisse) le 14 décembre 1883 de Léon Chancel et d'Antoinette Daudin.<br />
Il a grandi avec sa famille à Villeneuve-Saint-Georges (94), puis a exercé le métier de mécanicien.<br />
Il mesurait 1,73m et était châtain aux yeux gris.<br />
<br />
Il s'est engagé volontairement en 1904, à l'âge de</div>TestADhttps://wiki1418.yvelines.fr/index.php?title=Legoff_emile&diff=7122Legoff emile2019-02-15T10:14:58Z<p>TestAD : Page créée avec « Legoff Emile Léon né le 26/02/1871 à Menouville (95) »</p>
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<div>Legoff Emile Léon né le 26/02/1871 à Menouville (95)</div>TestADhttps://wiki1418.yvelines.fr/index.php?title=Lucien_Fernand_Deniau&diff=7121Lucien Fernand Deniau2019-02-15T10:14:45Z<p>TestAD : Page créée avec « Né le 30/08/1885 à Maisons-Laffitte, Lucien s'engage en 1906 et est affecté au 5ème régiment d'infanterie sous le matricule 8760. Classé dans les services auxiliaire... »</p>
<hr />
<div>Né le 30/08/1885 à Maisons-Laffitte, Lucien s'engage en 1906 et est affecté au 5ème régiment d'infanterie sous le matricule 8760. Classé dans les services auxiliaires pour incapacité de marche à cause d'une fracture à la jambe droite, ce soldat</div>TestADhttps://wiki1418.yvelines.fr/index.php?title=Armand_monnet&diff=7120Armand monnet2019-02-15T10:14:18Z<p>TestAD : Page créée avec « Martin Adolphe, Fernand, né le 20 juin 1889 à Paris (19èmeA.)à »</p>
<hr />
<div>Martin Adolphe, Fernand, né le 20 juin 1889 à Paris (19èmeA.)à</div>TestADhttps://wiki1418.yvelines.fr/index.php?title=Ernest_CHARLOT&diff=7119Ernest CHARLOT2019-02-15T10:13:53Z<p>TestAD : Page créée avec « À 29 ans, Ernest est mobilisé le 01 août 1914. Né le »</p>
<hr />
<div>À 29 ans, Ernest est mobilisé le 01 août 1914. Né le</div>TestADhttps://wiki1418.yvelines.fr/index.php?title=MOISAN_JEAN-MARIE&diff=7118MOISAN JEAN-MARIE2019-02-15T10:13:45Z<p>TestAD : Page créée avec « Jean-Marie Moisan est né le 19 juillet 1891 à Saint-Fiacre canton de Plouagat. Incorporé le 10/10/1912 »</p>
<hr />
<div>Jean-Marie Moisan est né le 19 juillet 1891 à Saint-Fiacre canton de Plouagat. Incorporé le 10/10/1912</div>TestADhttps://wiki1418.yvelines.fr/index.php?title=Biographie_Gilles_Robert_Edouard_D%C3%A9sir%C3%A9&diff=7117Biographie Gilles Robert Edouard Désiré2019-02-15T10:13:22Z<p>TestAD : Page créée avec « Biographie de »</p>
<hr />
<div>Biographie de</div>TestADhttps://wiki1418.yvelines.fr/index.php?title=Duval_Joseph&diff=7116Duval Joseph2019-02-15T10:12:20Z<p>TestAD : Page créée avec « '''Etat-civil''' Joseph DUVAL, né le 5 octobre 1874 à Marolles en Hurepoix, était maçon à St Vrain. Il fut mobilisé le 3 août 1914 »</p>
<hr />
<div>'''Etat-civil'''<br />
Joseph DUVAL, né le 5 octobre 1874 à Marolles en Hurepoix, était maçon à St Vrain. Il fut mobilisé le 3 août 1914</div>TestADhttps://wiki1418.yvelines.fr/index.php?title=Fichier:DEVAUX.png&diff=1459Fichier:DEVAUX.png2015-04-13T13:58:40Z<p>TestAD : TestAD a importé une nouvelle version de « Fichier:DEVAUX.png »</p>
<hr />
<div>Victor Devaux</div>TestADhttps://wiki1418.yvelines.fr/index.php?title=Bac_%C3%A0_sable&diff=1389Bac à sable2015-03-23T10:55:50Z<p>TestAD : </p>
<hr />
<div>= Anatole, Marcel Poulain =<br />
== Le poilu des Yvelines ==<br />
<br />
Il était une fois l'histoire de Poupou, il mangeait bien, il profitait toujours du soleil et la vie était belle. Mais un jour une lettre arriva et Poupou du aller au front (pas celui du visage). IL envoyait de nombreuses lettres à Kenza Farah pour qu'elle puisse écrire sa chanson " lettre du front", c'était un truc du genre " j'ai froid, j'ai mal, j'ai peur, tu me manques, j'aimerais ma,ger des kebabs encore avec toi. Et il mourit;<br />
<br />
Cette page permet de s’entraîner sans heurt à la pratique Wiki, en s’essayant à la publication d’un article sans déconstruire des articles déjà en ligne.<br />
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<br />
<br />
[[Fichier:Archives I891426R.JPG|vignette]]<br />
== Titre de deuxième niveau ==<br />
<br />
Important : le titre de premier niveau n'est jamais utilisé dans les articles puisqu'il s'agit du niveau utilisé pour le titre des articles.<br />
<br />
Une liste :<br />
* Un lien interne direct: [[Spécial:Modifications récentes]]<br />
* ''italique''<br />
* '''gras'''<br />
* '''''gras et italique'''''<br />
* <s>barré</s><br />
* Et ça marche avec les apostrophes : l''''automne''' sera pluvieux !<br />
On numérote '''une''' liste ?<br />
# Pourquoi pas ?<br />
# Je veux bien !<br />
# C'est facile... Par exemple : {{Ier siècle av. J.-C.}} ou encore {{XVIe siècle}}<br />
<br />
=== Troisième niveau : comment utiliser les indices ===<br />
<br />
Du texte normal peut contenir <sub>un indice</sub> pour des notations.<br />
test atelier wiki<br />
<br />
==== Quatrième niveau de titre : et maintenant les exposants ====<br />
<br />
Du texte normal peut contenir aussi <sup>un exposant</sup>.<br />
<br />
===== Cinquième niveau de titre =====<br />
<br />
* BALLY Jouannés,<br />
* BARTHELEMY Edmond,<br />
* BELHOMME Gaston,<br />
* [[Edmond Bordier|BORDIER Edmond]]<br />
* BORDIER Gustave,<br />
* BOUVET Eugène,<br />
* CHEVALLIER Edmond,<br />
* CHEVALLIER Georges,<br />
* CHIFFLET Émile,<br />
* COUDRAY Albert,<br />
* EVRARD Frédéric,<br />
* GIRAUD Joseph,<br />
* HAMEL Eugéne,<br />
* HERVIOU Jean,<br />
* LESOUDER Guillaume,<br />
* LEVEVE Raymond,<br />
* MARVIS Georges,<br />
* PICARD Maurice,<br />
* PIGEARD Léon,<br />
* PIGEARD Maurice,<br />
* RICHARD Alexis,<br />
* RICHARD Charles,<br />
* RICHARD Émile,<br />
* SENECHAL Émile,<br />
* THEART Édouard,<br />
* VAUDRON Eugéne,<br />
* [http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/ark:/40699/m00523a036510ccc VENARD Georges],<br />
* VOLMESHEISER Gaston,<br />
* VOLMESHEISER Louis<br />
<br />
LA VERRIERE<br />
* DUCHESNE Pierre,<br />
* EVARD André,<br />
* LABERTHONNIERE Jules<br />
====== Sixième (et dernier) niveau de titre ======<br />
<br />
a mon ''grand oncle'' '''henri poulier'''<br />
<br />
== son histoire ==<br />
<br />
=== a l'armee ===</div>TestADhttps://wiki1418.yvelines.fr/index.php?title=FOLAIN,_Pierre&diff=1388FOLAIN, Pierre2015-03-23T09:38:16Z<p>TestAD : Page créée avec « FOLAIN Pierre Le sous-lieutenant FOLAIN Pierre Entrepreneur de travaux publics issu d'une famille versaillaise, "tué à l'ennemi" et "mort pour la France" à 26 ans. Car... »</p>
<hr />
<div>FOLAIN Pierre<br />
Le sous-lieutenant FOLAIN Pierre<br />
<br />
Entrepreneur de travaux publics issu d'une famille versaillaise, "tué à l'ennemi" et "mort pour la France" à 26 ans.<br />
Carrière militaire<br />
<br />
Pierre Georges FOLAIN est né le 29 octobre 1888 à Guyancourt, fils de Georges Jules FOLAIN. Pierre était un jeune homme d'1m74, aux cheveux châtains et aux yeux gris. Son degré d'instruction était de 4.<br />
Mort pour la France le 24 août 1914 à Gouraincourt dans la Meuse.<br />
<br />
Après son arrivée à la base le 16 mars 1910, Pierre obtient le titre d'élève officier de réserve le 1er octobre de la même année. IL suit ensuite le cours spécial du 1er octobre au 12 mars 1911 et satisfait aux examens de fin de cours. Promu sous-lieutenant de réserve par le décret du 25 mars 1911, il est affecté au 102ème régiment d'Infanterie par décision ministérielle pour prendre rang le 1er avril 1914. Rappelé à l'activité par suite de mobilisation générale le 1er aout 1914, il arrive au corps le 3 aout; IL sera tué à l'ennemi le 24 aout 1914 à Gouraincourt.Il tombe mortellement blessé en enlevant brillamment sa section pour la porter en avant. IL a fait preuve des plus belles qualités de commandement et de courage. IL est décoré de la croix de guerre. <br />
<br />
<br />
<br />
Son nom figure sur le monument aux morts de Guyancourt.<br />
Renseignements militaires<br />
<br />
Matricule : 3508</div>TestADhttps://wiki1418.yvelines.fr/index.php?title=Poulloin_Eug%C3%A8ne&diff=1387Poulloin Eugène2015-03-23T09:36:50Z<p>TestAD : /* Renseignements militaires */</p>
<hr />
<div>Né le 3 janvier 1892 à Médéna (Alger), Eugène Poulloin exerce le métier de maçon à Villepreux. En février 1915, il est incorporé comme soldat de deuxième classe au 94e Régiment d'infanterie. Il est grièvement blessé et déclaré mort en mai 1916. <br />
<br />
==Renseignements militaires==<br />
* Matricule : 513<br />
* Classe : 1912<br />
* Bureau de recrutement : Versailles<br />
* Né le 3 janvier 1892 à Médéna (Alger), Eugène Poulloin exerce le métier de maçon à Villepreux. En février 1915, il est incorporé comme soldat de deuxième classe au 94e Régiment d'infanterie. Il est grièvement blessé et déclaré mort en mai 1916.<br />
<br />
==Renseignements militaires==<br />
* Matricule : 513<br />
* Classe : 1912<br />
* Bureau de recrutement : Versailles</div>TestADhttps://wiki1418.yvelines.fr/index.php?title=Poulloin_Eug%C3%A8ne&diff=1385Poulloin Eugène2015-03-23T09:29:47Z<p>TestAD : Page créée avec « Né le 3 janvier 1892 à Médéna (Alger), Eugène Poulloin exerce le métier de maçon à Villepreux. En février 1915, il est incorporé comme soldat de deuxième classe... »</p>
<hr />
<div>Né le 3 janvier 1892 à Médéna (Alger), Eugène Poulloin exerce le métier de maçon à Villepreux. En février 1915, il est incorporé comme soldat de deuxième classe au 94e Régiment d'infanterie. Il est grièvement blessé et déclaré mort en mai 1916. <br />
<br />
==Renseignements militaires==<br />
* Matricule : 513<br />
* Classe : 1912<br />
* Bureau de recrutement : Versailles<br />
* [Né le 3 janvier 1892 à Médéna (Alger), Eugène Poulloin exerce le métier de maçon à Villepreux. En février 1915, il est incorporé comme soldat de deuxième classe au 94e Régiment d'infanterie. Il est grièvement blessé et déclaré mort en mai 1916. .<br />
<br />
==Renseignements militaires==<br />
* Matricule : 513<br />
* Classe : 1912<br />
* Bureau de recrutement : Versailles</div>TestADhttps://wiki1418.yvelines.fr/index.php?title=Francois_henri&diff=1384Francois henri2015-03-23T09:21:51Z<p>TestAD : informations importantes</p>
<hr />
<div>FRANÇOIS Henri<br />
<br />
Né le 21 décembre 1895 à Stains, Henri François exerce le métier de dessinateur à Louveciennes (place de la Mairie) suite à des études à l'école des Arts et Métiers. En décembre 1914, il est incorporé comme soldat de deuxième classe au 405e Régiment d'infanterie. Lors de l'offensive du Bois de la Folie, il est sérieusement blessé à la main gauche. Amputé en partie de la main, ''''il est détaché de son service'''''''''' par la Société d'éclairage électrique à Paris puis en 1921 incorpore le 22e bataillon d'ouvrier d'artillerie.<br />
Renseignements militaires<br />
<br />
'''Matricule''' : 68<br />
'''Classe :''' 1915<br />
'''Bureau de recrutement :''' Versailles</div>TestADhttps://wiki1418.yvelines.fr/index.php?title=Ajouter_un_nouvel_article&diff=1383Ajouter un nouvel article2015-03-23T09:21:23Z<p>TestAD : /* Comment créer un nouvel article ? */</p>
<hr />
<div><br />
<br />
Toutes les contributions sont les bienvenues, même les plus modestes, dans le respect de la charte du [[Wiki de la Grande Guerre]].<br />
<br />
<br />
=Né le 21 décembre 1895 à Stains, Henri François exerce le métier de dessinateur à Louveciennes (place de la Mairie) suite à des études à l'école des Arts et Métiers. En décembre 1914, il est incorporé comme soldat de deuxième classe au 405e Régiment d'infanterie. Lors de l'offensive du Bois de la Folie, il est sérieusement blessé à la main gauche. Amputé en partie de la main, il est détaché de son service par la Société d'éclairage électrique à Paris puis en 1921 incorpore le 22e bataillon d'ouvrier d'artillerie.</div>TestADhttps://wiki1418.yvelines.fr/index.php?title=COCTEAU,_Jean&diff=1305COCTEAU, Jean2015-02-11T14:57:05Z<p>TestAD : /* Introduction */</p>
<hr />
<div><br />
<br />
== Introduction == <br />
[[Fichier:Jean-cocteau.jpeg|300px|thumb|right|Jean Cocteau]]<br />
[[Fichier:cocteau.jpeg|200px|thumb|right|Jean Cocteau]]<br />
Jean Cocteau naît à Maisons-Laffitte le 5 juillet 1889. Il écrit ses premiers poèmes en 1909 et participe dès 1910 aux créations des Ballets Russes, avec le Sacre du Printemps, qui inspireront dès lors son art. Entre 1914 et 1917, il participe, entre deux permissions, à la création du ballet Parade, œuvre marquante de Diaghilev. Quand la guerre éclate, il refuse de ne pas prendre part aux combats malgré une première réformation due à une scoliose en 1910. Il débute la [http://guerre guerre] comme ambulancier sur le front de Champagne où il est témoin du bombardement de Reims<ref name="site">Site officiel de Jean Cocteau <br />
<br />
http://www.jeancocteau.net/</ref>. La guerre va influencer son écriture puisqu'en février 1915, son premier poème intitulé Hymne à Joffre en lien avec son expérience au front est publié dans le '''Figaro'''.<br />
<br />
== Parcours ==<br />
<br />
[http://www.jeancocteau.net Son parcours militaire est tumultueux], il change en effet souvent d&rsquo;affectation. Le 4 mars 1915 Cocteau est appelé au 13e Régiment d&rsquo;artillerie de campagne puis est versé, le 18, à la 22e Section des Commis Ouvriers. A la fin de l&rsquo;année, en novembre, bien que placé en sursis, il int&egrave;gre la Société fran&ccedil;aise de Secours aux blessés (Croix-Rouge) et passe tout l&rsquo;hiver au front, dans l&rsquo;Yser, jusqu&rsquo;au 1er mars 1916. Durant l&rsquo;été 1916, il rentre à Paris o&ugrave; il fait de nombreuses rencontres artistiques, notamment dans le cadre du montage de <i>Parade</i><ref name="site" />. En septembre, il incorpore le service de propagande du minist&egrave;re des Affaires étrang&egrave;res. Le 24 novembre 1916, l&rsquo;auteur est placé à la 20e Section de Secrétaires d&rsquo;Etat-major puis est réformé temporairement quelques mois plus tard, en juillet 1917, à la suite de probl&egrave;mes aux poumons. Il est réformé définitivement le 2 juillet 1918<ref>Archives départementales des Yvelines, fiche matricule 1R 424</ref>. La période suivant la Grande Guerre est tr&egrave;s prolifique pour l&rsquo;auteur&nbsp;: il se lance dans des créations audacieuses qui le placeront dans la vague avant-gardiste de l&rsquo;entre-deux-guerres.<br />
<br />
Il continue à expérimenter le restant de sa vie et participe bri&egrave;vement au cinéma fran&ccedil;ais dans les années 1950 avec la Belle et la B&ecirc;te. Il déc&egrave;de le 11 octobre 1963 à Milly-la-For&ecirc;t. Sources&nbsp;: Bibliographie&nbsp;: 78 personnalités illustrent les Yvelines, Conseil général des Yvelines, 2012.<br />
<br />
== Sources ==<br />
=== Bibliographie === <br />
<br />
78 personnalités illustrent les Yvelines, Conseil général des Yvelines, 2012.<br />
[[Musée Jean Cocteau à Menton|http://museecocteaumenton.fr/]]<br />
<br />
=== Notes et références ===<br />
<references /><br />
<br />
<br />
=== Voir aussi === <br />
[[Maisons-Laffitte]]<br />
[[Combattants de la Grande Guerre des Yvelines]]<br />
[[Artistes des Yvelines durant la Grande Guerre]]<br />
<br />
{{DEFAULTSORT:Cocteau, Jean}}<br />
[[catégorie:Combattants de la Grande Guerre des Yvelines]]<br />
[[catégorie:Art]]<br />
[[catégorie:Ambulances]]<br />
[[catégorie:Romancier de la Grande Guerre]]<br />
[[catégorie:Maisons-Laffitte]]<br />
[[catégorie:Artistes]]<br />
<br />
<p>[[catégorie:Personnages]]</p><br />
[{{fullurl:{{FULLPAGENAMEE}}|action=pdfbook&format=single}} Téléchargez cet article au format PDF]</div>TestADhttps://wiki1418.yvelines.fr/index.php?title=SAUERBACH_Henri_Georges&diff=1121SAUERBACH Henri Georges2014-12-19T15:08:45Z<p>TestAD : </p>
<hr />
<div>{{Ebauche}}<br />
<br />
Jeune soldat engagé volontaire mort au combat après un acte de bravoure.<br />
<br />
==Renseignements militaires==<br />
* Matricule : 166<br />
* Classe : 1916<br />
* Bureau de recrutement : Versailles<br />
* [http://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s0053d1fc9890aa8/53d1fc997c997 Fiche matricule]<br />
<br />
[[Catégorie:Militaires]]<br />
[[Catégorie:Combattants de la Grande Guerre des Yvelines]]<br />
[[Catégorie:Bougival]]</div>TestADhttps://wiki1418.yvelines.fr/index.php?title=BRIERE,_Henri_D%C3%A9sir%C3%A9&diff=1116BRIERE, Henri Désiré2014-12-19T14:43:21Z<p>TestAD : </p>
<hr />
<div>{{Ebauche}}<br />
<br />
Né le 29 décembre 1876 à [[Saint Germain-la-Grange]] et habitant du [[Le Pecq|Pecq]], ce soldat du 104e Régiment d'infanterie est condamné pour refus d'obéissance en présence de l'ennemi, il est exécuté le 27 novembre 1916 à Nixeville (Meuse)<br />
<br />
==Renseignements militaires==<br />
<br />
* Matricule : 3484<br />
* Classe : 1896<br />
* Bureau de recrutement : Versailles<br />
* [http://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s0053ce41b50459c/53ce41b94441f Fiche matricule]<br />
* [http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/ark:/40699/m005450e3625245a Dossier sur la base des fusillés (Mémoire des hommes)]<br />
<br />
==Voir aussi==<br />
Liste des [[Yvelinois fusillés pendant la Première guerre mondiale]]<br />
<br />
[[Catégorie:Saint-Germain-la-Grange]]<br />
[[Catégorie:Le Pecq]]<br />
[[Catégorie:Militaires]]<br />
[[Catégorie:Personnages]]</div>TestADhttps://wiki1418.yvelines.fr/index.php?title=Chronique_de_janvier_1915:_La_mobilisation_des_femmes&diff=1067Chronique de janvier 1915: La mobilisation des femmes2014-12-18T15:14:02Z<p>TestAD : </p>
<hr />
<div>==Chronique de janvier 1915==<br />
<br />
===La mobilisation des femmes===<br />
<br />
[[Fichier:Janvier15.jpg|thumb|Carte postale – Ouvroir de Bonnelles]]<br />
<br />
La période de la Grande Guerre, longtemps considérée comme libératrice pour les femmes par une historiographie un peu réductrice, a été à la fois un moment d’intégration majeur de celles-ci dans la vie économique du pays tout en étant aussi une période de mise entre parenthèses des revendications politiques.<br />
<br />
Dès l’automne 1914, on vit se constituer à l’arrière du front des ateliers où les femmes, qu’elles soient épouses, sœurs, mères de soldats ou non, commencèrent à remplacer « ceux qui sont sur le champ de bataille » comme le préconisait le président du conseil Viviani. Le travail des femmes est dès lors un engagement patriote.<br />
<br />
L’ouvroir de Bonnelles, installé dans le château de ce village situé à une vingtaine de kilomètres de Rambouillet, a ainsi été transformé pendant la guerre par sa propriétaire, la duchesse d’Uzès, en hôpital militaire et en atelier de tricot. Le cliché pris ici représente des femmes de tous âges tricotant des vêtements, pour ce premier hiver de guerre, sous le regard de deux hommes. La carte postale se fait ainsi, par la démonstration de l’implication de l’arrière, un document de propagande de l’unité nationale.<br />
<br />
'''Pierre BURIGNAT'''<br />
<br />
[[:Catégorie:Chronique du centenaire]]</div>TestADhttps://wiki1418.yvelines.fr/index.php?title=Chronique_de_janvier_1915:_La_mobilisation_des_femmes&diff=1066Chronique de janvier 1915: La mobilisation des femmes2014-12-18T15:01:43Z<p>TestAD : Page créée avec « ==Chronique de janvier 1915== ===La mobilisation des femmes=== Carte postale – Ouvroir de Bonnelles La période de la Grande Guerre, l... »</p>
<hr />
<div>==Chronique de janvier 1915==<br />
<br />
===La mobilisation des femmes===<br />
<br />
[[Fichier:Janvier15.jpg|thumb|Carte postale – Ouvroir de Bonnelles]]<br />
<br />
La période de la Grande Guerre, longtemps considérée comme libératrice pour les femmes par une historiographie un peu réductrice, a été à la fois un moment d’intégration majeur de celles-ci dans la vie économique du pays tout en étant aussi une période de mise entre parenthèses des revendications politiques.<br />
<br />
Dès l’automne 1914, on vit se constituer à l’arrière du front des ateliers où les femmes, qu’elles soient épouses, sœurs, mères de soldats ou non, commencèrent à remplacer « ceux qui sont sur le champ de bataille » comme le préconisait le président du conseil Viviani. Le travail des femmes est dès lors un engagement patriote.<br />
<br />
L’ouvroir de Bonnelles, installé dans le château de ce village situé à une vingtaine de kilomètres de Rambouillet, a ainsi été transformé pendant la guerre par sa propriétaire, la duchesse d’Uzès, en hôpital militaire et en atelier de tricot. Le cliché pris ici représente des femmes de tous âges tricotant des vêtements, pour ce premier hiver de guerre, sous le regard de deux hommes. La carte postale se fait ainsi, par la démonstration de l’implication de l’arrière, un document de propagande de l’unité nationale.<br />
<br />
'''Pierre BURIGNAT'''</div>TestADhttps://wiki1418.yvelines.fr/index.php?title=Chronique_de_d%C3%A9cembre_1914:_La_mobilisation_des_enfants&diff=1065Chronique de décembre 1914: La mobilisation des enfants2014-12-18T14:57:59Z<p>TestAD : nouvel article</p>
<hr />
<div>==Chronique de décembre 1914==<br />
<br />
===La mobilisation des enfants===<br />
<br />
[[Fichier:Décembre1.jpg|vignette|Le Journal de Mantes, 9 décembre 1914 ]]<br />
<br />
A la fin de l’année scolaire les meilleurs élèves reçoivent, en récompense de leur travail et en reconnaissance de leur mérite, des prix (par exemple prix d’orthographe, prix de géographie…) accompagné d’un ou plusieurs livres. Cette cérémonie est en général présidée par le maire. Elle a lieu en présence de tous les enseignants, les élèves et leurs parents. Les livres, au début du XXème siècle sont encore des objets relativement coûteux et sont précieux pour beaucoup d’élèves de familles modestes. <br />
<br />
[[Fichier:Décembre2.jpg|vignette|Détail du Journal de Mantes, 9 décembre 1914 ]]<br />
<br />
A la fin du mois de novembre la course à la mer s’achève et la guerre rentre dans une nouvelle phase. Après la guerre de mouvement, les soldats vont mener une guerre d’usure. Les deux armées se positionnent face à face dans les tranchées. Les conditions de vie des soldats au front sont mal connues des civils à l’arrière car elles sont soit très lacunaires soit relèvent du « bourrage de crâne ». On se doute cependant à travers les appels à la solidarité – on demande aux civils d’envoyer des vêtements chauds, de la nourriture en complément de l’ordinaire par exemple – que les soldats manquent de tout et souffrent de l’éloignement .<br />
<br />
Les familles ont peu d’informations précises sur le sort des soldats du fait de la censure militaire et de la lenteur du courrier. Les longues listes de morts, de blessés et de prisonniers qui envahissent peu à peu les journaux sont source d’angoisse pour les familles. Ces lignes laissant apparaître une certaine émotion sont destinées à mettre en valeur l’action des enfants. <br />
<br />
Afin de ne pas se laisser submerger par l’émotion, on met en relief le côté patriotique de l’action des enfants. On insiste sur le fait que toute la nation est « en armes », une nation faite de héros glorieux au front comme à l’arrière. Ces lignes font écho aux représentations des enfants déguisés en poilus qui apparaitront sur les cartes postales au cours de la guerre. <br />
<br />
'''Isabelle ATTARD-AMAN'''<br />
<br />
[[:Catégorie:Chronique du centenaire]]</div>TestADhttps://wiki1418.yvelines.fr/index.php?title=Chronique_de_novembre_1914:_La_prise_en_charge_des_r%C3%A9fugi%C3%A9s&diff=1039Chronique de novembre 1914: La prise en charge des réfugiés2014-12-18T11:59:18Z<p>TestAD : </p>
<hr />
<div>==Chronique de novembre 1914==<br />
<br />
===La prise en charge des réfugiés===<br />
<br />
[[Fichier:Novembre.jpg|vignette|Télégramme du 4 janvier 1915]]<br />
<br />
La prise en charge des réfugiés est un problème apparu avec la Première Guerre mondiale. Le passage à un conflit de longue durée, au cours de l’automne 1914, lui a donné une acuité encore plus grande.<br />
<br />
Les réfugiés furent nombreux en Seine – et –Oise : de 9000 environ au début de 1915, leur nombre augmenta jusqu’à 26 000 à la fin du conflit. Les Belges étaient nombreux, en raison sans doute de la proximité de la ligne de front et de la présence voisine du gouvernement belge en exil (à Sainte-Adresse, près du Havre<br />
<br />
La gestion concrète de ce problème a sollicité l’ensemble de l’appareil administratif et politique français. Les maires ont été chargés du recensement des familles réfugiées, souvent éclatées et désorientées. Les sous-préfets et préfets ont appliqué les directives ministérielles du gouvernement, réfugié à Bordeaux depuis le 2 septembre 1914.<br />
<br />
Le souci principal des réfugiés et des pouvoirs publics est le problème de la subsistance. L’aide financière fut progressivement organisée à partir de novembre 1914, et prise en charge par les municipalités. C’est à cette époque qu’apparaissent les premières critiques à l’encontre des réfugiés, accusés de paresse et de profiter de l’aide publique alors que la nation est en plein effort de guerre.<br />
<br />
'''Pierre BURIGNAT'''<br />
<br />
[[catégorie:Chronique du centenaire]]</div>TestADhttps://wiki1418.yvelines.fr/index.php?title=Chronique_de_novembre_1914:_La_prise_en_charge_des_r%C3%A9fugi%C3%A9s&diff=1038Chronique de novembre 1914: La prise en charge des réfugiés2014-12-18T11:58:36Z<p>TestAD : intégration texte et image</p>
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<div>==Chronique de novembre 1914==<br />
<br />
===La prise en charge des réfugiés===<br />
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[[Fichier:Novembre.jpg|vignette|Télégramme du 4 janvier 1915]]<br />
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La prise en charge des réfugiés est un problème apparu avec la Première Guerre mondiale. Le passage à un conflit de longue durée, au cours de l’automne 1914, lui a donné une acuité encore plus grande.<br />
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Les réfugiés furent nombreux en Seine – et –Oise : de 9000 environ au début de 1915, leur nombre augmenta jusqu’à 26 000 à la fin du conflit. Les Belges étaient nombreux, en raison sans doute de la proximité de la ligne de front et de la présence voisine du gouvernement belge en exil (à Sainte-Adresse, près du Havre<br />
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La gestion concrète de ce problème a sollicité l’ensemble de l’appareil administratif et politique français. Les maires ont été chargés du recensement des familles réfugiées, souvent éclatées et désorientées. Les sous-préfets et préfets ont appliqué les directives ministérielles du gouvernement, réfugié à Bordeaux depuis le 2 septembre 1914.<br />
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Le souci principal des réfugiés et des pouvoirs publics est le problème de la subsistance. L’aide financière fut progressivement organisée à partir de novembre 1914, et prise en charge par les municipalités. C’est à cette époque qu’apparaissent les premières critiques à l’encontre des réfugiés, accusés de paresse et de profiter de l’aide publique alors que la nation est en plein effort de guerre.<br />
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'''Pierre BURIGNAT'''<br />
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[catégorie:Chronique du Centenaire]</div>TestADhttps://wiki1418.yvelines.fr/index.php?title=Chronique_d%27octobre_1914:_L%27enlisement_dans_une_guerre_longue&diff=1037Chronique d'octobre 1914: L'enlisement dans une guerre longue2014-12-18T11:55:56Z<p>TestAD : </p>
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<div>==Chronique d'octobre 1914==<br />
===L'enlisement dans une guerre longue===<br />
<br />
[[Fichier:Octobre1.jpg|vignette|« Les croquis de la semaine » par Henriot, L’Illustration n°3737 du 17 octobre 1914]]<br />
<br />
Henriot est un des illustrateurs historiques de ''L’Illustration''. L’étude des croquis publiés au début de la guerre dans ''L’Illustration'' atteste d’un changement progressif du conflit. Ainsi, dans les dessins du 17 octobre 1914 apparaissent plusieurs nouveautés.<br />
<br />
[[Fichier:Octobre2.jpg|vignette|Détail des « croquis de la semaine » par Henriot, L’Illustration n°3737 du 17 octobre 1914]]<br />
<br />
La figure récurrente est celle du soldat. On remarque l’inadaptation de la tenue et de l’équipement à la guerre moderne : képi, havresac au cadre en bois rigide, baïonnette. Le liseré présent sur le pantalon de certains soldats dessinés laisse à penser qu’Henriot a voulu représenter les pantalons « rouge garance » dont les soldats français étaient vêtus au début du conflit, avant que l’état-major ne modifie leur tenue.<br />
<br />
Cette illustration évoque le lieu qui va incarner presque à lui seul toute la guerre : la tranchée. A l’automne 1914, la stabilisation du front pousse les armées française et allemande à s’enterrer pour se protéger des obus. La guerre change de visage : la perspective d’un conflit rapide s’efface au profit de celle d’une guerre longue. Le dessinateur souligne d’ailleurs ici la rudesse de ce cadre : la boue, à la pluie (l’automne 1914 est exécrable dans le nord) sont autant de révélateurs d’un équipement insuffisant pour la mauvaise saison à venir.<br />
<br />
Les troupes coloniales furent employées dès le début de la guerre. Ainsi, des tirailleurs sénégalais combattirent lors de la bataille de la Marne. Le croquis que leur consacre Henriot est évocateur de l’accueil de ces hommes par les soldats français : si la première réaction était empreinte de curiosité, elle fit rapidement la place à un certain paternalisme.<br />
<br />
Le début du conflit vît une vague d’ « espionnite » s’emparer des Français. Très rapidement, le contrôle de la circulation de l’information devint un enjeu important pour l’état-major. Le 2 août 1914, un Bureau de la Presse fut constitué pour limiter la diffusion d’informations militaires. En septembre de la même année, ce contrôle s’étendit aux informations politiques. Le premier dessin est annonciateur d’un processus qui devint officiel et généralisé en mai 1915 : le contrôle systématique et strict du courrier des soldats à l’intention des civils.<br />
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'''Pierre BURIGNAT'''<br />
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[[catégorie:Chronique du centenaire]]</div>TestADhttps://wiki1418.yvelines.fr/index.php?title=Chronique_d%27octobre_1914:_L%27enlisement_dans_une_guerre_longue&diff=1036Chronique d'octobre 1914: L'enlisement dans une guerre longue2014-12-18T11:55:25Z<p>TestAD : </p>
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<div>==Chronique d'octobre 1914==<br />
===L'enlisement dans une guerre longue===<br />
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[[Fichier:Octobre1.jpg|vignette|« Les croquis de la semaine » par Henriot, L’Illustration numéro 3737 du 17 octobre 1914]]<br />
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Henriot est un des illustrateurs historiques de ''L’Illustration''. L’étude des croquis publiés au début de la guerre dans ''L’Illustration'' atteste d’un changement progressif du conflit. Ainsi, dans les dessins du 17 octobre 1914 apparaissent plusieurs nouveautés.<br />
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[[Fichier:Octobre2.jpg|vignette|Détail des « croquis de la semaine » par Henriot, L’Illustration numéro 3737 du 17 octobre 1914]]<br />
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La figure récurrente est celle du soldat. On remarque l’inadaptation de la tenue et de l’équipement à la guerre moderne : képi, havresac au cadre en bois rigide, baïonnette. Le liseré présent sur le pantalon de certains soldats dessinés laisse à penser qu’Henriot a voulu représenter les pantalons « rouge garance » dont les soldats français étaient vêtus au début du conflit, avant que l’état-major ne modifie leur tenue.<br />
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Cette illustration évoque le lieu qui va incarner presque à lui seul toute la guerre : la tranchée. A l’automne 1914, la stabilisation du front pousse les armées française et allemande à s’enterrer pour se protéger des obus. La guerre change de visage : la perspective d’un conflit rapide s’efface au profit de celle d’une guerre longue. Le dessinateur souligne d’ailleurs ici la rudesse de ce cadre : la boue, à la pluie (l’automne 1914 est exécrable dans le nord) sont autant de révélateurs d’un équipement insuffisant pour la mauvaise saison à venir.<br />
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Les troupes coloniales furent employées dès le début de la guerre. Ainsi, des tirailleurs sénégalais combattirent lors de la bataille de la Marne. Le croquis que leur consacre Henriot est évocateur de l’accueil de ces hommes par les soldats français : si la première réaction était empreinte de curiosité, elle fit rapidement la place à un certain paternalisme.<br />
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Le début du conflit vît une vague d’ « espionnite » s’emparer des Français. Très rapidement, le contrôle de la circulation de l’information devint un enjeu important pour l’état-major. Le 2 août 1914, un Bureau de la Presse fut constitué pour limiter la diffusion d’informations militaires. En septembre de la même année, ce contrôle s’étendit aux informations politiques. Le premier dessin est annonciateur d’un processus qui devint officiel et généralisé en mai 1915 : le contrôle systématique et strict du courrier des soldats à l’intention des civils.<br />
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'''Pierre BURIGNAT'''<br />
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[[catégorie:Chronique du centenaire]]</div>TestADhttps://wiki1418.yvelines.fr/index.php?title=Chronique_d%27octobre_1914:_L%27enlisement_dans_une_guerre_longue&diff=1035Chronique d'octobre 1914: L'enlisement dans une guerre longue2014-12-18T11:55:08Z<p>TestAD : </p>
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<div>==Chronique d'octobre 1914==<br />
===L'enlisement dans une guerre longue===<br />
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[[Fichier:Octobre1.jpg|vignette|« Les croquis de la semaine » par Henriot, L’Illustration numéro 3737 du 17 octobre 1914]]<br />
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Henriot est un des illustrateurs historiques de ''L’Illustration''. L’étude des croquis publiés au début de la guerre dans ''L’Illustration'' atteste d’un changement progressif du conflit. Ainsi, dans les dessins du 17 octobre 1914 apparaissent plusieurs nouveautés.<br />
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[[Fichier:Octobre2.jpg|vignette|Détail des « croquis de la semaine » par Henriot, L’Illustration numéro 3737 du 17 octobre 1914]]<br />
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La figure récurrente est celle du soldat. On remarque l’inadaptation de la tenue et de l’équipement à la guerre moderne : képi, havresac au cadre en bois rigide, baïonnette. Le liseré présent sur le pantalon de certains soldats dessinés laisse à penser qu’Henriot a voulu représenter les pantalons « rouge garance » dont les soldats français étaient vêtus au début du conflit, avant que l’état-major ne modifie leur tenue.<br />
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Cette illustration évoque le lieu qui va incarner presque à lui seul toute la guerre : la tranchée. A l’automne 1914, la stabilisation du front pousse les armées française et allemande à s’enterrer pour se protéger des obus. La guerre change de visage : la perspective d’un conflit rapide s’efface au profit de celle d’une guerre longue. Le dessinateur souligne d’ailleurs ici la rudesse de ce cadre : la boue, à la pluie (l’automne 1914 est exécrable dans le nord) sont autant de révélateurs d’un équipement insuffisant pour la mauvaise saison à venir.<br />
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Les troupes coloniales furent employées dès le début de la guerre. Ainsi, des tirailleurs sénégalais combattirent lors de la bataille de la Marne. Le croquis que leur consacre Henriot est évocateur de l’accueil de ces hommes par les soldats français : si la première réaction était empreinte de curiosité, elle fit rapidement la place à un certain paternalisme.<br />
<br />
Le début du conflit vît une vague d’ « espionnite » s’emparer des Français. Très rapidement, le contrôle de la circulation de l’information devint un enjeu important pour l’état-major. Le 2 août 1914, un Bureau de la Presse fut constitué pour limiter la diffusion d’informations militaires. En septembre de la même année, ce contrôle s’étendit aux informations politiques. Le premier dessin est annonciateur d’un processus qui devint officiel et généralisé en mai 1915 : le contrôle systématique et strict du courrier des soldats à l’intention des civils.<br />
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'''Pierre BURIGNAT'''<br />
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[[catégorie:Chronique du centenaire]]</div>TestADhttps://wiki1418.yvelines.fr/index.php?title=Fichier:Octobre1.jpg&diff=1034Fichier:Octobre1.jpg2014-12-18T11:54:11Z<p>TestAD : TestAD a importé une nouvelle version de « Fichier:Octobre1.jpg »</p>
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<div>« Les croquis de la semaine » par Henriot, L’Illustration n°3737 du 17 octobre 1914</div>TestADhttps://wiki1418.yvelines.fr/index.php?title=Fichier:Octobre1.jpg&diff=1033Fichier:Octobre1.jpg2014-12-18T11:53:01Z<p>TestAD : TestAD a importé une nouvelle version de « Fichier:Octobre1.jpg »</p>
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<div>« Les croquis de la semaine » par Henriot, L’Illustration n°3737 du 17 octobre 1914</div>TestAD