Différences entre versions de « BELLANGER, Albert Jules »

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== Etat civil ==
 
== Etat civil ==
Né le 28 juillet 1894 à Marcq <ref>[http://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s0053e38154ab527/53e381562c245 Registre des naissances, mariages et décès de Marcq, 1875-1894, Archives Départementales]</ref> de Louis Jules Cadot et de Louise Dupuis, Albert Bellanger exerce la profession de cocher.<br />
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Né le 28 juillet 1894 à Marcq <ref>[http://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s0053e38154ab527/53e381562c245 Registre des naissances, mariages et décès de Marcq, 1875-1894, Archives Départementales]</ref> de Louis Jules (décédé en 1899) et de Louise Dupuis, Albert Bellanger habite à Marcq où il exerce la profession de cocher selon sa fiche matricule. Dans le recensement de 1911, Albert Bellanger est ouvrier agricole, chez Edouard Floquet, fermier <ref>[http://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s0053ee7d1ee5d01/53ee7d1eecf65 Liste de recensement de la population de Marcq 1911, Archives départementales]</ref>. <br />
  
Dans le recensement de Marcq (1911), Albert Bellanger apparaît chez Edouard Floquet, fermier <ref>[http://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s0053ee7d1ee5d01/53ee7d1eecf65 Liste de recensement de la population de Marcq 1911, Archives départementales]</ref>. Il est ouvrier agricole.  <br />
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Il est mort pour la France le 31 août 1915 à Mouilly (Meuse, 55). <br /> En 1921, sa mère demande et obtient une concession dans le cimetière de Marcq, car ses restes doivent être rapportés aux frais de l'état <ref>[http://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s0054d1e7d502947/54d1e7d5a6fd3 Délibération du conseil municipal du 27 janvier 1921, Archives départementales]</ref>
 
 
Il est mort pour la France le 31 août 1915 à Mouilly (Meuse, 55). <br />
 
 
== Renseignements militaires ==
 
== Renseignements militaires ==
 
Classe : 1914<br />
 
Classe : 1914<br />
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Matricule : 282<br />
 
Matricule : 282<br />
  
Bureau de recrutement : Versailles<ref>[http://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s0053d0041ea042f/53d0042047d05 Registre d'incorporation militaire d'Albert Jules Bellanger, Archives Départementales]</ref><br />
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Bureau de recrutement : Versailles<ref>[http://archives.yvelines.fr/ark:/36937/s0053d0041ea042f/53d0042047d05 Fiche matriculaire d'Albert Jules Bellanger, Archives Départementales]</ref><br />
  
 
== Etats de service ==
 
== Etats de service ==
Il est incorporé dès septembre 1914, en tant que Dragon de 2ème classe au 9ème régiment de dragons. Il passe dès octobre au 1er régiment d'infanterie. Il est blessé le 16 février 1915 au thorax (coté gauche). Le 1er juillet 1915, il est attaché au 9ème bataillon des chasseurs à pied. Ce bataillon opère dans la Meuse, dans la tranchée de Calonne. Il est blessé lors des bombardements le 31 août 1915, et décède des suites de ses blessures <ref>[http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/ark:/40699/e00528f4f7b21b9b/528f4f7b5a0fe Extrait du Journal des Marches et Opérations du 9ème bataillon de chasseurs à pied mentionnant la blessure de Bellanger, Chemins de la Mémoire]</ref>.  
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Âgé de tout juste 20 ans, il est incorporé dès septembre 1914, en tant que Dragon de 2ème classe au 9ème régiment de dragons. Il passe dès octobre au 1er régiment d'infanterie. Il est blessé le 16 février 1915 au thorax (coté gauche). Le 1er juillet 1915, il est attaché au 9ème bataillon des chasseurs à pied. Ce bataillon opère dans la Meuse, dans la tranchée de Calonne. Il est blessé lors des bombardements le 31 août 1915, et décède des suites de ses blessures au bivouac de Palcroix <ref>[http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/ark:/40699/e00528f4f7b21b9b/528f4f7b5a0fe Extrait du Journal des Marches et Opérations du 9ème bataillon de chasseurs à pied mentionnant la blessure de Bellanger, Mémoire des Hommes]</ref>.  
Il obtient la mention "Mort pour la France"<ref>[http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/ark:/40699/m00523abe0f4d20c/5242c6da2e474 Fiche individuelle "Mort pour la France", sur Mémoires des Hommes]</ref>.<br />
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Il obtient la mention "Mort pour la France", transcrite dans le registre d'état civil de Marcq le 13 octobre 1915<ref>[http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/ark:/40699/m00523abe0f4d20c/5242c6da2e474 Fiche individuelle "Mort pour la France", sur Mémoire des Hommes]</ref>.<br />
  
 
== Notes et références ==
 
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[[catégorie:Personnages]]
 
[[catégorie:Militaires]]
 
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[[catégorie:Yvelinois "Morts pour la France"]]
 
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[[catégorie:Marcq]]
 
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Version actuelle datée du 7 novembre 2015 à 22:10

Etat civil

Né le 28 juillet 1894 à Marcq [1] de Louis Jules (décédé en 1899) et de Louise Dupuis, Albert Bellanger habite à Marcq où il exerce la profession de cocher selon sa fiche matricule. Dans le recensement de 1911, Albert Bellanger est ouvrier agricole, chez Edouard Floquet, fermier [2].

Il est mort pour la France le 31 août 1915 à Mouilly (Meuse, 55).
En 1921, sa mère demande et obtient une concession dans le cimetière de Marcq, car ses restes doivent être rapportés aux frais de l'état [3]

Renseignements militaires

Classe : 1914

Matricule : 282

Bureau de recrutement : Versailles[4]

Etats de service

Âgé de tout juste 20 ans, il est incorporé dès septembre 1914, en tant que Dragon de 2ème classe au 9ème régiment de dragons. Il passe dès octobre au 1er régiment d'infanterie. Il est blessé le 16 février 1915 au thorax (coté gauche). Le 1er juillet 1915, il est attaché au 9ème bataillon des chasseurs à pied. Ce bataillon opère dans la Meuse, dans la tranchée de Calonne. Il est blessé lors des bombardements le 31 août 1915, et décède des suites de ses blessures au bivouac de Palcroix [5]. Il obtient la mention "Mort pour la France", transcrite dans le registre d'état civil de Marcq le 13 octobre 1915[6].

Notes et références

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