Différences entre versions de « Monument aux morts du Pecq »
(4 versions intermédiaires par le même utilisateur non affichées) | |||
Ligne 5 : | Ligne 5 : | ||
A l’heure actuelle le monument du Pecq trône toujours dans le cimetière de la commune et reflète également les pertes de la Seconde Guerre Mondiale et de la guerre de 1870. | A l’heure actuelle le monument du Pecq trône toujours dans le cimetière de la commune et reflète également les pertes de la Seconde Guerre Mondiale et de la guerre de 1870. | ||
− | [[Fichier: | + | [[Fichier:2R26.jpeg|vignette|Plan du Monuments aux morts du Pecq]] |
− | |||
[[Catégorie:Le Pecq]] | [[Catégorie:Le Pecq]] |
Version actuelle datée du 28 novembre 2014 à 14:09
A la fin de la Grande Guerre, de nombreux projets d’érection de monuments aux morts voient le jour dans les Yvelines. Le monument du Pecq fut l’un d’entre eux. Le projet pour Le Pecq est signé dès le mois de septembre 1920. Le monument est érigé dans un esprit républicain et laïc, le deuil est représenté par la couronne mortuaire et la feuille de palme. Entre 1919 et 1926, les monuments commémoratifs de la Première Guerre Mondiale peuplent le paysage des arrondissements de Versailles, Saint-Germain-en-Laye ou encore Rambouillet. Au total, environ 30.000 monuments sont construits en France durant cette période.
A l’heure actuelle le monument du Pecq trône toujours dans le cimetière de la commune et reflète également les pertes de la Seconde Guerre Mondiale et de la guerre de 1870.