Différences entre versions de « Saint-Nom-la-Bretèche, Marraine d'après Guerre »

De Le Wiki de la Grande Guerre
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La Municipalité de Tramery décide en 1921 d’affecter les dons du Canton de Marly à la réfection de la canalisation d’eau potable de la Commune (Délibération ci-contre), alors que Saint-Nom-la-Bretèche attendra l’eau courante jusqu’en 1932 !
 
La Municipalité de Tramery décide en 1921 d’affecter les dons du Canton de Marly à la réfection de la canalisation d’eau potable de la Commune (Délibération ci-contre), alors que Saint-Nom-la-Bretèche attendra l’eau courante jusqu’en 1932 !
  
En 1925, Tramery engage une dépense de 132,85 francs, pour célébrer son adoption par le Canton de Marly, et en reconnaissance pour le nouveau don
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En 1925, Tramery engage une dépense de 132,85 francs, pour célébrer son adoption par le Canton de Marly, et en reconnaissance pour le nouveau don de 100 francs de Saint-Nom-la-Bretêche pour l’année 1924.
de 100 francs de Saint-Nom-la-Bretêche pour l’année 1924.
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== Reconnaissance des filleuls ==
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En reconnaissance des subventions versées de 1921 à 1925, les deux Municipalités de Tramery et d’Époye reçoivent les “''délégués de la Marraine''”.
  
 
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Version du 30 juillet 2015 à 15:57

Soutien aux villages martyrs

Les villages de la Marne, sur le chemin des invasions, ont souffert une fois encore des combats et de leur cortège de destructions.

En 1921, le Canton de Marly-le-Roi, dont Saint-Nom-la-Bretèche fait partie, prend “l’initiative de venir en aide aux communes sinistrées, soit en leur fournissant du mobilier confectionné ou même usagé, soit par des subsides obtenus par une contribution volontaire fixée à 0 f 50 par habitant [et la municipalité, pour sa part,] vote en faveur des Communes d’Époye et Tramery une subvention de Trois cent cinquante francs.”[1]

En 1921, le village comptant 618 âmes, n’était redevable que de 309 francs.

L'église et le cimetière d'Époye en 2003[2]
Délibération du Conseil municipal d'Époye[3]

Époye, village situé à 16 km à l’Est-Nord-Est de Reims

Le 24 novembre 1923, le Maire de Saint-Nom-la-Bretèche fait remarquer que la commune alloue chaque année une somme de 200 F pour les communes d’Époye et Tramery, et décide de continuer cet effort.

Le Conseil décide en outre d’allouer une somme de 30 F en faveur des sinistrés du Japon.

Le 9 février 1925, la Municipalité d’Époye remercie la Commune de Saint-Nom-la-Bretèche pour son nouveau don de 100 francs “inspiré par un sentiment de solidarité patriotique” (Délibération ci-contre).

Nous ne savons pas quel usage a été fait de ces dons.


Délibération du Conseil municipal de Tramery[4]
L'église et le cimetière de Tramery en 2003[5]

Tramery, village situé à 17 km à l’Ouest de Reims

La Municipalité de Tramery décide en 1921 d’affecter les dons du Canton de Marly à la réfection de la canalisation d’eau potable de la Commune (Délibération ci-contre), alors que Saint-Nom-la-Bretèche attendra l’eau courante jusqu’en 1932 !

En 1925, Tramery engage une dépense de 132,85 francs, pour célébrer son adoption par le Canton de Marly, et en reconnaissance pour le nouveau don de 100 francs de Saint-Nom-la-Bretêche pour l’année 1924.

Reconnaissance des filleuls

En reconnaissance des subventions versées de 1921 à 1925, les deux Municipalités de Tramery et d’Époye reçoivent les “délégués de la Marraine”.


Références

  1. Délibération du Conseil municipal de Saint-Nom-la-Bretèche N°393 du 13 février 1921, Archives Communales
  2. Photo Les Amis de Saint Nom la Bretêche
  3. AC Époye
  4. AC Tramery
  5. Photo Les Amis de Saint Nom la Bretêche