Différences entre versions de « EUDES, Eugène Alphonse »
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− | Il en va de même pour les protections qualifiées d' "arme | + | Il en va de même pour les protections qualifiées d' "arme défensive" dans le mémoire. Deux sont citées : les lunettes (de protection) et les masques à gaz. Ces deux moyens de défense sont en fait des innovations de la première guerre mondiale car pour la première fois, de dangereux gaz sont utilisés comme arme. Bien qu'étant peu efficaces, ces défenses ont permis de limiter les dégâts. |
− | + | Le terme d' "outils" désigne une grande variété d'objets du quotidien. Ces objets étaient énumérés aux côtés de leur porteur qui en avait un ou deux. Comme je n'ai repéré aucune régularité dans l'association objet porté-porteur, j'en ai déduis que ces objets provenaient de la hâte dans laquelle pouvaient se trouver les soldats : soit les hommes récupéraient avant de partir les objets qui se trouvaient à leur proximité, soit ils en récupéraient sur les morts. Toujours est-il que les outils mentionnés sont les suivants: | |
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− | On constate donc que le | + | On constate donc que le caporal Eudes s'occupait d'une quinzaine d'hommes avant de passer au rang de sergent et de s'occuper alors d'une trentaine d'hommes. |
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# le clairon: poste occupé par un joueur de clairon (instrument à vent en cuivre) qui, grâce à des sonneries facilement reconnaissables, donne des ordres aux soldats. | # le clairon: poste occupé par un joueur de clairon (instrument à vent en cuivre) qui, grâce à des sonneries facilement reconnaissables, donne des ordres aux soldats. | ||
# le "voltigeur": durant la première guerre mondiale désigne des compagnies d'élites qui agissaient en tant que tirailleur au-devant des bataillons. | # le "voltigeur": durant la première guerre mondiale désigne des compagnies d'élites qui agissaient en tant que tirailleur au-devant des bataillons. | ||
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− | La guerre incite les hommes à la coopération. Effectivement, le carnet<ref>Carnet page 10 et 13v</ref> nous signale qu'une partie du régiment d'Eudes a travaillé avec le génie militaire plusieurs fois au cours de la guerre. Le génie militaire est une arme qui compose l'armée de terre. Il doit faciliter le mouvement pour les forces alliées et gêner voire empêcher celui des forces adverses. J'ai retrouvé dans le livret un croquis de pont sans lieu ni date | + | La guerre incite les hommes à la coopération. Effectivement, le carnet<ref>Carnet page 10 et 13v</ref> nous signale qu'une partie du régiment d'Eudes a travaillé avec le génie militaire plusieurs fois au cours de la guerre. Le génie militaire est une arme qui compose l'armée de terre. Il doit faciliter le mouvement pour les forces alliées et gêner voire empêcher celui des forces adverses. J'ai retrouvé dans le livret un croquis de pont sans lieu ni date identifiables. On peut supposer qu'il s'agit du croquis d'un projet avec le génie militaire car la construction de ce type d'infrastructure relève souvent de sa compétence. De plus, Eudes, du fait de sa profession de maçon, devait être curieux et intéressé par cela. |
Force a été de constater qu'au-delà d'une coopération de l'hexagone, une coopération de tout le territoire français avait été mise en place. On peut noter l'évocation du "4ème Régiment Mixte de Zouaves Tirailleurs"<ref>Information page 6 du carnet d'Eugène.</ref>. Ces régiments, notés RMZT, ne proviennent pas de la France métropolitaine mais sont constitués en Afrique du nord, notamment au Maroc et en Algérie, colonies françaises. De plus, j'ai relevé plus tard la présence d'un "Bataillon de Tirailleurs Sénégalais" en provenance de Dakar. A cette époque le Sénégal était encore une colonie française. La mobilisation de la totalité du territoire français était donc illustrée par la présence des forces armées de plusieurs colonies. | Force a été de constater qu'au-delà d'une coopération de l'hexagone, une coopération de tout le territoire français avait été mise en place. On peut noter l'évocation du "4ème Régiment Mixte de Zouaves Tirailleurs"<ref>Information page 6 du carnet d'Eugène.</ref>. Ces régiments, notés RMZT, ne proviennent pas de la France métropolitaine mais sont constitués en Afrique du nord, notamment au Maroc et en Algérie, colonies françaises. De plus, j'ai relevé plus tard la présence d'un "Bataillon de Tirailleurs Sénégalais" en provenance de Dakar. A cette époque le Sénégal était encore une colonie française. La mobilisation de la totalité du territoire français était donc illustrée par la présence des forces armées de plusieurs colonies. | ||
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Eudes reçu la [[Croix de Guerre|croix de guerre]] pour récompenser son "sang froid" et ses "initiatives en Belgique". | Eudes reçu la [[Croix de Guerre|croix de guerre]] pour récompenser son "sang froid" et ses "initiatives en Belgique". | ||
− | ===Retour à la vie civile<ref>Partie traitée grâce à la partie III du mémoire | + | ===Retour à la vie civile<ref>Partie traitée grâce à la partie III du mémoire déjà cité en référence</ref>=== |
− | + | Peu de temps après sa démobilisation, soit en janvier 1919, Eugène s’est rendu propriétaire d’une entreprise de maçonnerie et couverture. Le 24 septembre 1921, un mariage eut lieu entre Lucie Eudes, sa fille et Louis Berché, jeune Montfortois qui venait de passer lui aussi les quatre ans de guerre sur le front. | |
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+ | Le temps passa vite pour Eugène qui n'eut pas la possibilité de passer outre le traumatisme de la "Der des Ders" afin de transmettre quelques souvenirs de la guerre. En effet il décède en 1924. | ||
==Notes et références== | ==Notes et références== |
Version du 11 novembre 2015 à 02:35
Qui est Eugène Eudes ?
Eugène Alphonse Eudes, fils unique d'Alexandre Eudes et Aimée Levesque qui divorcèrent, est né le 22 mars 1874 à Montfort-l'Amaury, grosse bourgade alors de Seine-et-Oise, qui comptera 1652 habitants au recensement de 1911. Il semble que sa famille y soit installée depuis au moins deux générations. C'est en ces lieux qu'il grandit.
Il se marie le 12 octobre 1901, à 27 ans, tardivement mais hâtivement avec Marie Augustine Hoffmann, enceinte, de qui il eut trois enfants : Lucie, née le 31 mars 1902, Germaine née le 20 juillet 1903 et enfin Roger, né le 4 septembre 1907.
Grâce à la rubrique "Signalement" de sa fiche de matricule, nous savons qu'Eugène était un homme aux "cheveux et sourcils châtains", "au nez et à la bouche moyens", au front "ordinaire", au menton "rond", au visage "ovale", aux yeux "bleus" et qu'il mesure un mètre soixante-et-onze[1].
Il appartient au milieu ouvrier car il y est dit "ouvrier maçon"[1]. Il fait preuve d'un niveau d'instruction 3 : comme beaucoup, il sait donc lire, écrire et compter[2].
Actions Militaires
Service Militaire
Durant le XIXe siècle, le service militaire s’effectuait à partir d'un tirage au sort. Chaque canton devait fournir un quota d’hommes précis. Eugène était le numéro 85 et fut tiré au sort en 1895.
A cette occasion fut crée sa fiche matricule dans laquelle figure de nombreux renseignements sur Eugène:
- Son Etat Civil comprenant son lieu et jour de naissance, son métier, les modalités de son recrutement ainsi que le nom de ses parents.
- La Décision du Conseil de Révision
- Le Détail des Services et Mutations diverses
- Son Numéro Matricule de recrutement
- Sa Classe de mobilisation
- Son Signalement comprenant une description physique et le niveau d'instruction.
Grâce à cette fiche nous apprenons le numéro matricule d'Eugène, le 3135. Il débute son service militaire à 21 ans, le 16 novembre 1895: il est alors incorporé au 30ème régiment d'Infanterie à Chartres, en tant que soldat de seconde classe. Grâce à ses compétences, il devient soldat de première classe le 21 octobre 1896. Il y continue son service militaire de trois ans réglementaires jusqu'au 17 Septembre 1898, date à laquelle il est « envoyé en disponibilité » (c’est-à-dire en réserve)[1].
La mention "exercé" dans la catégorie militaire nous indique qu'il a reçu un enseignement militaire dans le cadre d'un passage sous les drapeaux.
La Grande Guerre à travers son carnet[3]
Le 9 juin 1915, Eugène est affecté au 73e Régiment d'Infanterie Territoriale (RIT) dans lequel il resta tout au long de la guerre. De cette période, il ne reste que peu traces. Cependant, Eugène laisse derrière lui un petit carnet de route dans lequel il écrivait le quotidien de son groupe de manière pragmatique. Ce carnet commence en juin 1915 et se termine en août 1918. Eugène y dresse de nombreuses listes probablement parce que ses responsabilités de caporal (14 juillet 1915 au 16 avril 1916) puis de sergent (à partir d'avril 1916) l'y poussent[1]. Les principaux thèmes que j'ai pu dégager du carnet sont les suivants : l'équipement, les hommes, les tranchées le repos et permissions ainsi que le parcours pédestre d'Eugène.
L'Equipement
Ce que j'entends par "équipement" regroupe en fait les vêtements, les armes, les protections et les outils.
En ce qui concerne les vêtements, ils étaient souvent cités lors de leur remise et donc parfois associés avec des noms. J'ai remarqué que les vêtements variaient selon la saison. En effet on relève une remise de "Cagoule" le 2 février 1916[4] Les vêtements cités dans l'intégralité du carnet sont:
- les cagoules
- les ceintures
- les chemises
- les cravates
Les armes sont quant à elles systématiquement mentionnées avec leur propriétaire. On retiendra:
- les baïonnettes
- les fusils
- les grenades à fusil VB notées "VB"[5]
Il en va de même pour les protections qualifiées d' "arme défensive" dans le mémoire. Deux sont citées : les lunettes (de protection) et les masques à gaz. Ces deux moyens de défense sont en fait des innovations de la première guerre mondiale car pour la première fois, de dangereux gaz sont utilisés comme arme. Bien qu'étant peu efficaces, ces défenses ont permis de limiter les dégâts.
Le terme d' "outils" désigne une grande variété d'objets du quotidien. Ces objets étaient énumérés aux côtés de leur porteur qui en avait un ou deux. Comme je n'ai repéré aucune régularité dans l'association objet porté-porteur, j'en ai déduis que ces objets provenaient de la hâte dans laquelle pouvaient se trouver les soldats : soit les hommes récupéraient avant de partir les objets qui se trouvaient à leur proximité, soit ils en récupéraient sur les morts. Toujours est-il que les outils mentionnés sont les suivants:
- les bêches
- les brosses à fusil
- les sacs à dos
- les fléaux
- les haches
- les marmites
- les massettes
- les moulins à café
- les pelles
- les pioches
- les plats
- les sceaux
- les serpes
- les serviettes
Les Hommes
Lorsqu'Eugène liste ses hommes, en haut de la page figurent des abréviation désignant des unités militaires. Pour me donner une idée de ce dont Eugène parlait j'ai dressé le tableau ci-dessous décrivant les unités militaires.
(TABLEAU A METTRE EN PIECE JOINTE APRES)
On constate donc que le caporal Eudes s'occupait d'une quinzaine d'hommes avant de passer au rang de sergent et de s'occuper alors d'une trentaine d'hommes.
Chaque homme avait une fonction bien précise au sein de son groupe. Cinq d'entre eux sont notées:
- le clairon: poste occupé par un joueur de clairon (instrument à vent en cuivre) qui, grâce à des sonneries facilement reconnaissables, donne des ordres aux soldats.
- le "voltigeur": durant la première guerre mondiale désigne des compagnies d'élites qui agissaient en tant que tirailleur au-devant des bataillons.
- le tireur
- le pourvoyeur : à disposition des tireurs, les aidant notamment à porter le matériel
- l'ordonnance : homme rattaché à un officier
La guerre incite les hommes à la coopération. Effectivement, le carnet[6] nous signale qu'une partie du régiment d'Eudes a travaillé avec le génie militaire plusieurs fois au cours de la guerre. Le génie militaire est une arme qui compose l'armée de terre. Il doit faciliter le mouvement pour les forces alliées et gêner voire empêcher celui des forces adverses. J'ai retrouvé dans le livret un croquis de pont sans lieu ni date identifiables. On peut supposer qu'il s'agit du croquis d'un projet avec le génie militaire car la construction de ce type d'infrastructure relève souvent de sa compétence. De plus, Eudes, du fait de sa profession de maçon, devait être curieux et intéressé par cela.
Force a été de constater qu'au-delà d'une coopération de l'hexagone, une coopération de tout le territoire français avait été mise en place. On peut noter l'évocation du "4ème Régiment Mixte de Zouaves Tirailleurs"[7]. Ces régiments, notés RMZT, ne proviennent pas de la France métropolitaine mais sont constitués en Afrique du nord, notamment au Maroc et en Algérie, colonies françaises. De plus, j'ai relevé plus tard la présence d'un "Bataillon de Tirailleurs Sénégalais" en provenance de Dakar. A cette époque le Sénégal était encore une colonie française. La mobilisation de la totalité du territoire français était donc illustrée par la présence des forces armées de plusieurs colonies.
Dans les tranchées
Les tranchées sont des excavations longitudinales pratiquées à ciel ouvert dans le sol. Elles sont composées de plusieurs lignes reliées entre elles par des "boyaux" et éloignées de plusieurs centaines de mètres. Ces cavités mesuraient environs deux mètres de profondeur et étaient parfois renforcées par des fagots.
Eugène évoque à de nombreuses reprises les tranchées sans pour autant les décrire. Il est pourtant notoire que les conditions y sont rudes. Cependant Eugène y signale simplement son passage sans implication émotionnelle. Les « séjours » au front sont généralement de quatre jours comme c'est le cas du 14 au 18 janvier 1916 près de Zuidschoote. En moyenne, Eugène campait deux fois par mois dans les tranchées avec une durée de séjour variant de deux à sept jours. Ses passages s'effectuaient dans les tranchées de première, deuxième ou troisième ligne. Les tranchées de première ligne sont les plus exposées, c'est pourquoi les soldats s'y trouvant sont fréquemment relevés. Elles contiennent des abris sommaires, des postes de tirs et de guet. Leurs fonctions principales étaient de tirer sur l'ennemi, de servir de tremplin pour les attaques de fantassins et de première ligne de défense servant à repousser l'ennemi en cas d'attaque. Une centaine de mètres en arrière se trouvaient les tranchées de seconde ligne comportant des abris profonds, des postes de guet et de soin. Elles servaient de repli ou d'appui à la première ligne lors des contre-attaques. Plusieurs centaines de mètres plus en arrière encore se situaient les tranchées de troisième ligne qui étaient théoriquement les plus sûres. Ce n'était pourtant pas le cas : elles étaient les cibles de l'artillerie ennemie qui avait une longue portée. Elles servaient principalement de zone de stockage (vivre, matériel, munitions...), de chemin de ravitaillement, de chemin de retraite.
Repos et permissions
Lors des période de repos, qui pouvait n'être qu'une nuit ou quelque jours, Eugène et ses compagnons trouvaient abri dans des fermes qui étaient probablement réquisitionnées. Plus d'une dizaine de fermes différentes sont citées dans le carnet et certaines comme la ferme "de la Mas" ou celle "du Canada" reviennent souvent. Choisies pour leur capacité à héberger un grand nombre d'hommes, elles permettaient également aux hommes de se "ravitailler". Les militaires pouvaient aussi être logés dans des "baraquements" ou chez des personnes telles que "Mr Maille", un jardinier .
Pour des périodes plus longues, les hommes partaient en permission afin de retrouver leur foyer s'ils avaient assez de temps. Ce fut le cas d'Eugène qui retourna à Montfort l'Amaury en train lors de sa permission d'octobre 1917. Les périodes de permission allaient de 2 à 22 jours en ce qui concerne Eugène. Ses permissions entre juin 1915 et juillet 1918 ont eu lieu :
- du 21 décembre 1915 au 2 janvier 1916
- du 14 avril au 24 avril 1916
- du 28 octobre au 1er novembre 1916
- du 18 décembre au 28 décembre 1916
- du 22 mai au 29 mai 1917
- du 7 août au 29 août 1917
- du 23 octobre au 26 octobre 1917
- du 28 décembre 1917 au 7 janvier 1918.
Le Parcours
Grâce aux descriptions très précises qu'Eugène laisse dans son carnet, nous avons pu cartographier son parcours pédestre de juin 1915 à mai 1916 à la frontière franco-belge[8].
De même nous avons cartographié son parcours pédestre en Oise de juin 1916 à août 1918[8].
Le Retour
Lorsque l'Armistice sonna, les soldats ne furent pas libérés mais placés en réserve. La France sécurisa ses arrières en ayant une armée prête à retourner au front si la trêve s'avérait échouer. C'est pour cela qu'Eugène ne fut pas libéré de son service militaire avant le 22 octobre 1922.
Décorations
Eudes reçu la croix de guerre pour récompenser son "sang froid" et ses "initiatives en Belgique".
Retour à la vie civile[9]
Peu de temps après sa démobilisation, soit en janvier 1919, Eugène s’est rendu propriétaire d’une entreprise de maçonnerie et couverture. Le 24 septembre 1921, un mariage eut lieu entre Lucie Eudes, sa fille et Louis Berché, jeune Montfortois qui venait de passer lui aussi les quatre ans de guerre sur le front.
Le temps passa vite pour Eugène qui n'eut pas la possibilité de passer outre le traumatisme de la "Der des Ders" afin de transmettre quelques souvenirs de la guerre. En effet il décède en 1924.
Notes et références
- ↑ 1,0 1,1 1,2 et 1,3 Informations extraites de la fiche matricule d'Eudes Eugène
- ↑ Cf. Recrutement de l'armée, dispositions générales. Volume mis à jour à la date du 20 septembre 1918. Editions H. Charles-Lavauzelle, Paris, 1918. Avec un niveau 4, le mobilisé a obtenu son brevet de l'enseignement primaire. Un bachelier est de niveau 5, niveau maximal et exceptionnel sauf chez les officiers.
- ↑ Cette partie sera intégralement rédigée à partir de la partie II du mémoire : De Montfort-l'Amaury au front : le parcours de deux poilus et leur retour, mémoire lauréat du 9ème Concours du Jeune Historien des Yvelines 2015, Charleyne Marsocci, sous la direction de Christine Barnel et consultable aux Archives Départementales des Yvelines.
- ↑ Information issue de la page 38v du carnet d'Eudes, archive familiale privée.
- ↑ Du nom de leur inventeur Jean Viven et Gustave Bessière
- ↑ Carnet page 10 et 13v
- ↑ Information page 6 du carnet d'Eugène.
- ↑ 8,0 et 8,1 ,Cartes de Charleyne Marsocci extraites, De Montfort-l'Amaury au front : le parcours de deux poilus et leur retour, mémoire lauréat du 9ème Concours du Jeune Historien des Yvelines 2015, sous la direction de Christine Barnel et consultable aux Archives Départementales des Yvelines.
- ↑ Partie traitée grâce à la partie III du mémoire déjà cité en référence