Différences entre versions de « CADOT, Eugène Louis »

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Après cette blessure, il fut affecté au 3ème régiment d'infanterie. Il s'illustra par sa bravoure, notamment lors des opérations des 2 et 3 novembre 1917.  
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Après cette blessure, il fut affecté au 9ème régiment d'infanterie. Il s'illustra par sa bravoure, notamment lors des opérations des 2 et 3 novembre 1917.  
 
Évacué le 16 octobre 1918, il mourut le 11 novembre 1918 dans l'ambulance, à Vertus dans la Marne, de maladie contractée au front. Il fut cité à l'ordre<ref>[http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/ark:/40699/m005239dca6337f3 Fiche individuelle "Mort pour la France"]</ref>
 
Évacué le 16 octobre 1918, il mourut le 11 novembre 1918 dans l'ambulance, à Vertus dans la Marne, de maladie contractée au front. Il fut cité à l'ordre<ref>[http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/ark:/40699/m005239dca6337f3 Fiche individuelle "Mort pour la France"]</ref>
  

Version du 29 juin 2015 à 12:42

État-Civil

Né le 27 avril 1886 à Marcq[1] de Maxime Cadot et Louise Tremblay, Eugène s'est marié le 15 octobre 1910 à Andelu à Irma Pasquer[2]. Lors du recensement de la population de 1911[3], il apparaît sur les listes d'Andelu avec sa femme et sa belle-mère. Il décède le 11 novembre 1918, lors de son évacuation du front.

Renseignements militaires

Matricule : 3869[4]
Classe : 1906
Bureau de recrutement : Versailles

États de service

Eugène Cadot fut parmi les premiers appelés de la mobilisation générale du 1er août 1914. Le 8 Août, il partit pour le front avec le 23ème régiment d'infanterie colonial auquel il fut affecté. Dès le 21 août, le régiment connut ses premiers combats à Gérouville à la frontière belge.

En septembre 1915, le régiment arriva en Champagne, à Massiges. Cette position, qui prit le nom de "main de Massiges", fut le lieu d'affrontements meurtriers. En vue d'une offensive, le 23ème régiment creuse des boyaux. C'est lors des violents combats qui suivirent, le 29 septembre 1915, qu'Eugène fut blessé par un éclat d'obus.


Après cette blessure, il fut affecté au 9ème régiment d'infanterie. Il s'illustra par sa bravoure, notamment lors des opérations des 2 et 3 novembre 1917. Évacué le 16 octobre 1918, il mourut le 11 novembre 1918 dans l'ambulance, à Vertus dans la Marne, de maladie contractée au front. Il fut cité à l'ordre[5]

Notes et références