Différences entre versions de « Saint-Nom-la-Bretèche, Marraine d'après Guerre »

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Les villages de la Marne, sur le chemin des invasions, ont souffert une fois encore des combats et de leur cortège de destructions.
 
Les villages de la Marne, sur le chemin des invasions, ont souffert une fois encore des combats et de leur cortège de destructions.
  
En 1921, le Canton de Marly-le-Roi, dont Saint-Nom-la-Bretèche fait partie, prend “''l’initiative de venir en aide aux communes sinistrées, soit en leur fournissant du mobilier confectionné ou même usagé, soit par des subsides obtenus par une contribution volontaire fixée à 0 f 50 par habitant'' [et la municipalité, pour sa part,] ''vote en faveur des Communes d’Époye et Tramery une subvention de Trois cent cinquante francs''.”
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En 1921, le Canton de Marly-le-Roi, dont Saint-Nom-la-Bretèche fait partie, prend “''l’initiative de venir en aide aux communes sinistrées, soit en leur fournissant du mobilier confectionné ou même usagé, soit par des subsides obtenus par une contribution volontaire fixée à 0 f 50 par habitant'' [et la municipalité, pour sa part,] ''vote en faveur des Communes d’Époye et Tramery une subvention de Trois cent cinquante francs''.”<ref>Délibération du Conseil municipal de Saint-Nom-la-Bretèche, Archives Communales</ref>
 
En 1921, le village comptant 618 âmes, n’était redevable que de 309 francs.
 
En 1921, le village comptant 618 âmes, n’était redevable que de 309 francs.

Version du 30 juillet 2015 à 15:07

Soutien aux villages martyrs

Les villages de la Marne, sur le chemin des invasions, ont souffert une fois encore des combats et de leur cortège de destructions.

En 1921, le Canton de Marly-le-Roi, dont Saint-Nom-la-Bretèche fait partie, prend “l’initiative de venir en aide aux communes sinistrées, soit en leur fournissant du mobilier confectionné ou même usagé, soit par des subsides obtenus par une contribution volontaire fixée à 0 f 50 par habitant [et la municipalité, pour sa part,] vote en faveur des Communes d’Époye et Tramery une subvention de Trois cent cinquante francs.”[1] En 1921, le village comptant 618 âmes, n’était redevable que de 309 francs.

  1. Délibération du Conseil municipal de Saint-Nom-la-Bretèche, Archives Communales